Jean Bobon. Le pseudo-glossolalies ludiques et magiques (Trois langues artificielles, d’origine ludique, chez une paraphrénique hypomaniaque). Extrait de la revue « Langages », (Paris), 23e année, n°91, 1988, pp. 61-74. Jean Bobon (1912-1990). Docteur en médecine, chirurgie et accouchements (Liège-1938) et Docteur en sciences anthropologiques (Liège-1944). Il est également Licencié en sciences criminologiques (Bruxelles 1946). En 1963, il fut chargé d’enseignement à l’Institut de Psychologie. En 1964, il enseignait à la Faculté de médecine de l’Ulg en tant que Professeur ordinaire, titulaire de la chaire de Psychiatrie (il sera admis à l’Emiritat en 1982). Il enseignait également la psychiatrie légale et la prophylaxie criminelle à l’Ecole de Criminologie. Il publia 127 titres scientifiques, dont un ouvrage de référence fondamental sur le langage parlé et En lire plus
Articles du mot-clé : xénoglossie
G. R. Un cas de Xénoglossie.
G. R. Un cas de Xénoglossie. Aventures psychiques à New-York par Neville Whymant. Extrait des « Annales des Sciences Psychiques », (Paris). Un cas de Xénoglossie Aventures psychiques à New-York par Neville Whymant Avec une préface de Sir Oliver Lodge (Mayet Co Editeurs, Boston) Les hasards d’un diner à New-York ont amené le Dr WHYMANY à vivre un des plus extraordinaires épisodes de sa vie, Mais il déclare n’avoir pas trouve la solution a l’énigme qui s’est posée a lui ; et voici ce qu’il raconte : Il n’est pas un spiritualiste, n’a aucune théorie préconçue et depuis vingt ans n’a pris aucun intérêt aux phénomènes psychiques. Par contre, il est très versé dans l’étude des langues de l’Extrême-Orient et tout particulièrement du Chinois. En lire plus
Rogues de Fursac. Un mouvement mystique en Allemagne au XXe siècle. Article paru dans « La Nouvelle Revue », (Paris), 1912, pp. 40-62.
Rogues de Fursac. Un mouvement mystique en Allemagne au XXe siècle. Article paru dans « La Nouvelle Revue », (Paris), 1912, pp. 40-62. Marie Henri Joseph Pierre Étienne Rogues de Fursac (1872-1942). Médecin aliéniste. On sait très peu de chose de ce psychiatre dont la carrière se déroula essentiellement à l’hôpital de Villejuif. Appelé en 1932 avec ses confrères Georges Génil-Perrin (1882-1964) et Marc Trénel (1866-1932) à examiner Georges Gorguloff, l’assassin du président Paul Doumer, il démissionnera de ses fonction d’expert près des tribunaux pour protester contre l’exécution du condamné qu’il considérait comme irresponsable. On notera l’intérêt particulier qu’il portera constamment à la psychanalyse. Ses principales publications, dont deux restent des ouvrages de référence : — Manuel de psychiatrie. Paris, Félix En lire plus