Articles du mot-clé : succube

Louis Dubosquet. Dissertation sur le cauchemar. Thèse n° 201. A Paris, de l’imprimerie de Didot jeune, 1815. 1 vol. in-4°, 22 p., 1 planche dépliante.

Louis Dubosquet. Dissertation sur le cauchemar. Thèse n° 201. Présentée et soutenue à la Faculté de Médecine de Paris, le 22 juin 1815, pour obtenir le grade de Docteur en médecine. A Paris, de l’imprimerie de Didot jeune, 1815. 1 vol. in-4°, 22 p., 1 planche dépliante. (B. n. F. : 8-TH PARIS-129 (201)   Louis Dubosquet, médecin français qui n’a pas laissé une grande trace dans la mémoire par la publication de ses travaux. C’est le seul que nous connaissons sous cette forme de thèse. ll semble qu’il ait exercé à l’Hôpital de La Salpêtrière. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de la thèse. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original.
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André Cellier. Les influencés. Article paru dans la revue « L’Encéphale », (Paris), dix-huitième année, 1924. Intégral.

André Cellier. Les influencés. Article paru dans la revue « L’Encéphale », (Paris), dix-huitième année, 1924, pp. 153-161, 225-234, 294-301, 370-381. Cet article reproduit le texte in extenso proposé en quatre parties dans la revue « L’Encépahle ». André Ceillier (1887-1954), psychiatre, médecin chef du service des femmes à Clermont-de-l’Oise depuis juin 1941, il du faire face à la maltraitance des malades par insuffisance de moyens en personnel et nourriture.. Il soigna Valéry Larbaud pendant 22 ans et fut un proche de Paul Valéry et de nombreux poètes. Il fut l’un des membres du premier cercle qui s’intéressa à la psychanalyse en France. Il se donna la mort  un matin de 1954, sans laisser de message qui aurait pu expliquer son geste. Quelques travaux : — En lire plus

Une observation d’incube à la Renaissance. Par M. Laignel-Lavastin et jean Vinchon. 1923.

Maxime-Paul-Marie Laignel-Lavastine  & Jean Vinchon. Une observation d’incube à la Renaissance.] in « Annales médico-psychologiques », (Paris), douzième série, tome premier, quatre-vingt-unième année, 1923, pp. 203-206. Et tiré-à-part : Paris, Masson et Cie, 1923. 1 vol. in-8°, pp. 203-206. Maxime-Paul-Marie Laignel-Lavastine [1875-1953]. Élève de Joseph Babinski. il s’intéresse à la neurologie, la criminologie et la psychiatrie. Internat de Paris en 1898, Médecin des Hôpitaux en 1907, agrégé en 1910. Enseignant l’histoire de la médecine, c’est très tôt qu’il s’intéressera à la psychiatrie, mais c’est seulement en 1939, en prenant la succession de Henri Claude à Sainte Anne et en occupant la chaire de Clinique des maladies mentales qui se consacra à cette discipline. Organiciste convaincu, il prendra étonnement part à la défense En lire plus