Eugène Bernard-Leroy et Justine Tobolowska. Sur les relations qui existent entre les Hallucinations du rêve et les images langage intérieur. Extrait du « Bulletin de l’Institut Psychologique International », (Paris), première année, n°5, Juillet-Août-Septembre 1901, pp. 241-248. Eugène Bernard-Leroy (1871-1932). On sait peu de choses de sa vie et ses études, sinon qu’il est médecin et qu’il collabore à de nombreuses revue dont la Revue Philosophique, dans laquelle on trouve nombres d’articles. Nous nous contentons donc, provisoirement de citer quelques unes de ses publications : — Dépersonnalisation et fausse mémoire. « Revue philosophique de la France et de l’étranger », (Pris), 1898 — Sur l’illusion dite de « dépersonnalisation ». « Revue philosophique de la France et de l’étranger », (Pris), 1898. — Un cas singulier d’illusion de dédoublement. Article paru En lire plus
Articles du mot-clé : psychiatrie
Essai d’interprétation physiologique des stigmates. Par Jules Tinel. 1936.
Jules Tinel. Essai d’interprétation physiologique des stigmates. Article parut dans la revue les « Etudes carmélitaines », (Paris), Desclée de Brouwer et Cie, 20e année. — Vol. II., octobre 1936, pp. 93-97. Jules Tinel (1879-1952). Neurologiste. Son principal travail porte sur la Blessure des nerfs qui donnera lieu à une publication éponyme en 1916. Catholique convaincu il fréquenta un temps la Grotte de Lourdes pour y accueillir les malades. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original, mais avons corrigé les fautes de composition. – Les images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous En lire plus
L’année 1885 ou la naissance du XXe siècle. Par Michel Collée.
L’année 1885 ou la naissance du XXe siècle. Par Michel Collée. Le XXe siècle n’eut pas la patience d’attendre la date officielle de son avènement ; il est né, non sans éclats, en 1885. En mai 1885, quatre mois après un monumental banquet national organisé à l’occasion de son quatre-vingt troisième anniversaire, Victor Hugo meurt. Maurice Barrès dans les « Déracinés » (1), dépeint la nuit du 31 mai 1885, soir de l’enterrement comme suit : Ce fut une nuit de vertige, dissolue et pathétique, où Paris fut enténébré des vapeurs de son amour pour une relique. Peut-être la grande ville cherchait-elle à réparer sa perte. Ces hommes, ces femmes avaient-ils quelques instincts des hasards brûlants d’où sort le génie ? Combien de femmes se En lire plus