Codet et Laforgue. Influence de Charcot sur Freud. Extrait du « Le Progrès médical », (Paris), n° 22, 30 mai 1925, pp. 801-802. Henri Codet (1889-1939). Dès ses premières année de philosophie il fut attiré par la psychiatrie, à la suite de la lecture de Pierre Janet. Il fut l’élève de Séglas et de Souques à la Salpêtrière. Chef de clinique de Henri Claude, il soutint une thèse qui restera une référence, tant pour le sujet traité, que par la forme, Le collectionnisme normal et pathologique (1921). Il fut avec son épouse, un des fondateurs du groupe de l’Evolution psychiatrique en 1925. Il sera parmi les fondateurs de la Société psychanalytique de Paris. Il mourra dans un accident de voiture En lire plus
Articles du mot-clé : psychanalyse
Louis de Jaucourt . SONGE. Extraits de l’ « Encyclopédie, éd. de Denis Diderot », (Paris), vol. 15, 1751,p. 357.
Louis de Jaucourt. SONGE VÉNÉRIEN, SONGE, (Critique sacrée.), SONGES, (Mytholologie.), SONGE, (Poésie.), SONGES, (fête des).] in « Encyclopédie, éd. de Denis Diderot », (Paris), vol. 15, 1751,p. 357-359. Louis de Jaucourt (1704-1779). rédacteur de l’Encyclopédie et docteur en médecine français. [p. 357, colonne 2] SONGE VÉNRIEN, (Médec.) Maladie que Cœlius Aurelianus appelle en grec ὀνειρόγονος. Hippocrate dit aussi ὀνειρώσσειν, avoir des songes vénériens. Ce n’est point une maladie, dit Cœlius Aurelianus, ni le symptôme d’une maladie, mais l’effet des impressions de l’imagination, qui agissent durant le sommeil. Cet état vient ou de beaucoup de tempérament, de l’usage des plaisirs de l’amour, ou au contraire d’une continence outrée. Il demande différens traitemens selon ses causes. Chez les uns il faut détourner l’imagination des plaisir En lire plus
René Allendy. Les Névroses. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°24, 1924, de 8 pages (non paginée).
René Allendy. Les Névroses. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°24, 1924, de 8 pages (non paginée). René-Félix Allendy (1882-1942.). Médecin et homéopathe, il s’intéressa à la psychanalyse dès 1920 et devint psychanalyste après avoir fait son analyse avec René Laforgue, avec qui il collabora pour plusieurs articles. Un des douze fondateurs, à l’initiative René Laforgue et Marie Bonaparte, de la Société psychanalytique de Paris en 1926. Il aura comme patient, entre autres, Antonin Artaud et Anaïs Nin. Sa thèse de médecine, L’alchimie et la médecine, dénote son intérêt précoce et jamais démenti pour l’occultisme. Nous retiendrons son rapprochement des théories surréaliste et l’ouvrage qu’il écrivit Capitalisme et sexualité, qui semble aujourd’hui de toute actualité. – Quelques autres articles de cet auteur En lire plus