Articles du mot-clé : possession démoniaque

La démonopathie dans l’histoire. Notes pour servir à l’histoire des possessions démoniaques. Par le Dr V. Lebond. 1909.

V. Leblond. La démonopathie dans l’histoire. Notes pour servir à l’histoire des possessions démoniaques. Article parut dans la revue « La Chronique médicale », (Paris), 1909, 16e année, n° 22, pp. 721-729. – Et Tiré-à-part : Paris, Société française d’imprimerie et de librairie, 1910. 1 vol. in-8°, 11 p. Le Dr V. Leblond nait le 1862. Ancien interne des Hôpitaux de Paris et Président de la Société académique de l’Oise, il fut l’auteur de plusieurs monographies sur le beauvaisis. Le plus importante et la plus connue est : — L’Art et les artistes en Île-de-France au XVIe siècle. Paris, E. Champion, 1921, 1 vol. in-8°, 352 p. Mais il s’intéressa également beaucoup aux possessions démoniaques et nous permis d’avoir accès à plusieurs documents originaux de première En lire plus

Une récente exorcisation en Bavière. Par A. Souques. 1893.

Achille Souques & le père Aurélian. Une récente exorcisation en Bavière. Rapport sur un cas l’exorcisation (13 et 14 juillet 1891) dans le cloître des Capucins de Wending. Article parut dans la « Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière », (Paris), tome sixième, 1893, pp. 56-64. Achille Achille (Alexandre Achille Cyprien) Souques [1860-1944]. Interne des hôpitaux de Paris, il s’oriente vers la neurologie. Il sera le dernier interne de Charcot et la mort prématurée de celui-ci, fut déterminante dans l’évolution de sa carrière. Il sera un des plus zélés défenseur des théories du maître, et décrira avec lui ce qui deviendra le syndrome de Souques-Charcot, variante de la maladie de Hutchinson. Il fut également un des fondateurs de la Société de Neurologie de Paris.  En lire plus

Les aboyeuses de Josselin. Josselin et ses environs. Par H. de Kernouab. 1888.

H. de Kernouab. Les aboyeuses de Josselin. Josselin et ses environs. Paris, Imprimerie Vve Hugonis, 1888. 1 vol. in-8°, 1 fnch., 16 p. C’est lors du pardon du 25 mai 1728 (le pèlerinage avait alors lieu à la Pentecôte), que trois enfants vont être guéris d’un mal décrit comme « étrange et inconnu aux témoins de l’époque, un mal effrayant dans sa manifestation ». Ce sont des aboyeurs ! On ne possède pas d’autres témoignages de ce phénomène jusqu’au XlXe siècle, époque à laquelle le pèlerinage de Josselin devient le « pardon des Aboyeuses » ; ce terme, toujours employé au féminin, apparait avec les folkloristes. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Nous avons gardé l’orthographe, En lire plus