Albert Brousseau et O. Raeder. La psychanalyse devant la neuro-psychiatrie américaine. Article paru dans « L’Encéphale », (Paris), dix-septième année, 1922, pp. 360-368. Albert Brousseau (1888-1955). Ancien élève du d’Ernest Dupré qui évoquait une « immoralité constitutionnelle » ou une invalidité morale », le Brousseau, médecin-chef de la 3e section de 1938 à sa mort en 1955, défendra une psychiatrie neurobiologique dans le prolongement des théories de l’anthropologie criminelle et verra dans les « anormalités » comportementales des délinquants l’indice d’une anomalie dont les racines seraient constitutionnelles (Véronique Fau-Vincenti). Nous connaissons comme publication: — Essai sur la peur aux armées (1914-1918). Paris, 1920. [p. 360] La psychanalyse devant la neuro-psychiatrie américaine (1). Par Albert Brousseau En lire plus
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La psycho-analyse française. Par Paul Farez. 1915.
Paul Farez. La psycho-analyse française. Paris, A. Maloine, 1915. 1 vol. in-8°, 4 p. Paul Farez (1868-1940). Médecin qui se spécialisa dans l’étude des sommeils, naturel, provoqués et pathologiques, et donc de l’hypnotisme. Il fut un des fondateurs collaborateurs de la Revue de l’hypnotisme expérimental et thérapeutique créée par Edgar Bérillon en 1888, qui deviendra dès l’année suivante la Revue de l’Hypnotisme et de la psychologie physiologique, puis enfin la Revue de Psychothérapie et de psychologie appliquée, dont il fut le rédacteur en chef. Quelques publications : — De la suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des maladies mentales. Paris, A. Maloine, 1898. 1 vol. — Hypnotisme et sommeil prolongé dans uncas de délire alcoolique. Paris, Imprimerie de En lire plus
La libido. Par René Allendy. Le Disque vert. 1924.
René Allendy. La libido. Article parut dans la publication « Le Disque vert », (Paris-Bruxelles), deuxième année, troisième série, numéro spécial « Freud », 1924, pp. 38-43. René-Félix Allendy (1882-1942.). Médecin et homéopathe, il s’intéressa à la psychanalyse dès 1920 et devint psychanalyste après avoir fait son analyse avec René Laforgue. Un des douze fondateurs, à l’initiative René Laforgue et Marie Bonaparte, de la Société psychanalytique de Paris en 1926. Il aura comme patient, entre autres, Antonin Artaud et Anaïs Nin. Sa thèse de médecine, L’alchimie et la médecine, dénote son intérêt précoce et jamais démenti pour l’occultisme. Nous retiendrons son rapprochement des théories surréaliste et l’ouvrage qu’il écrivit Capitalisme et sexualité, qui semble aujourd’hui de toute actualité. – Quelques autres articles de cet auteur : — Le En lire plus