Articles du mot-clé : mémoire

Les paramnésies. Par André Lalande. 1893.

André Lalande. Les paramnésies. Article parut dans la « Revue philosophique de la France et de l’étranger », (Paris), dix-huitième année, tome XXXVI, juillet-décembre 1893, pp. 485-497. On peut considérer cet article comme un des deux  premier, avec les quelques pages que lui consacre Théodule Ribot dans son ouvrage Les maladies de la mémoire (1881), tout du moins en français, sur le sujet des paramnésies. Les nombreux articles qui suivirent, en particulier celui d’Henni Bergson [en ligne sur notre site] y font référence. Pierre André Lalande (1867-1963). Docteur es lettres et agrégé de philosophie, il enseigna à l’Ecole normale supérieure de Sèvres puis à la Sorbonne et à l’université du Caire. Son nom restera attaché au Vocabulaire technique et critique de la philosophie, revu En lire plus

L’illusion de fausse reconnaissante. Par Henri Bergson. 1908.

Henri Bergson. L’illusion de fausse reconnaissance. « Revue philosophique de la France et de l’étranger », (Paris) tome LXVI, décembre 1908, pp. 561-593. Un article important pour l’histoire des paramnésie après celui de Joseph Grasset. La sensation de déjà-vu [en ligne sur notre site] Henri Bergson, naît le 18 octobre 1859 à Paris où il meurt le 4 janvier 1941, est un philosophe français, très influencé par Baruch Spinoza (1632-1677) et Emmanuel Kant (1724-1824). Nous renvoyons aux travaux biographiques existants pour en savoir plus sur ce philosophe trop souvent laissé pour compte. Outre de très nombreux articles, il a publié quatre principaux ouvrages : 1889. Essai sur les données immédiates de la conscience. 1896. Matière et mémoire. 1907. L’Evolution créatrice. 1927. Les Deux sources de En lire plus

Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. Par Alfred Maury. 18532.

Alfred Maury. Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. in « Annales médico-psychologiques », (Paris), deuxième série, tome 5, 1853, pp. 404-421. Louis-Ferdinand-Alfred-Maury nait à Meaux en 1817 et meurt à Paris en 1892. Il prépare d’abord l’Ecole polytechnique sur l’incitation de son père ; en 1836, cédant à son goût pour l’érudition, et à sa curiosité naturelle, il demande à être attacher à la Bibliothèque royale, qu’il quitte pour s’engager dans l’étude de l’histoire des religions ; puis la médecine l’attire à son tour et il entreprends ses études de médecine qu’il abandonne, mais qui lui permettent de faire la connaissance de Lélut, Baillarger, Moreau de Tous, entre autres. Ces connaissances et son érudition, alors qu’il n’est pas En lire plus