Articles du mot-clé : mélancolie

Duncan et le IIIe centenaire de l’affaire des Ursulines de Loudun. Par Daniel Bourchenin. 1933.

Daniel Bourchenin (1853-1933). Duncan et le IIIe centenaire de l’affaire des Ursulines de Loudun. Extrait du Bulletin de la Société de l’Histoire du Protestantisme français, (Paris), LXXXe année, cinquième de la 6e série, 1. Janvier-mars, 1932, pp. 310-314. On connaît principalement de lui : Étude sur les académies protestantes en France au XVIe et au XVIIe siècle. Paris, Grassart, 1882. 1 vol. in-8°, Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article en français. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original.
 – Par commodité nous avons reporté les notes originales de bas de page en fin d’article. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr [p. En lire plus

BIBLIOGRAPHIE — MINOIS Georges. Histoire du mal de vivre. De la mélancolie à la dépression. Paris, Éditions de La Martinière, 2003.

BIBLIOGRAPHIE — Dans cet ouvrage sur la mélancolie et ses déclinaisons, traité par l’historien Georges Minois, on approche la maladie par un regard transversal, ce qui nous donne à y réfléchir autrement. Nous avons en particulier l’approche de l’acédie, ce mal catholique, ce mal à l’âme, qui se manifeste par un dégoût des pénitences et d’autres pratiques spirituelles qui caractérise un état passager ou encré. C’est dans ce dernier cas une maladie.   MINOIS Georges. Histoire du mal de vivre. De la mélancolie à la dépression. Paris, Éditions de La Martinière, 2003. 1 vol. 15.5/23.5, 478 p., 1 fnch. EAN 978-2846750769. Notre société rejette les pessimistes, les déprimés, les angoissés. Le « mal de vivre » serait-il une maladie de la modernité En lire plus

Observation de démonomanie ; deux ans de durée , guérison instantanée (7 mars 1843).] Par Alexandre-Jacques-François Brierre de Boismont. 1843.

Alexandre-Jacques-François Brierre de Boismont. Observation de démonomanie; deux ans de durée; guérison instantanée (7 mars 1843).] Article parut dans les « Annales médico-psychologiques », (Paris), tome II, 1843, pp. 111-117. Citéé par Pezet dans sa thèse : « Contribution à l’étude de la démonomanie », comme étant paru in « Gazette des hôpitaux », du 7 mars 1843. Alexandre-Jacques-François Brierre de Boismont [1797-1881]. Désavoué par sa famille pour son mariage, il commence sa pratique médicale à la maison de santé Saint-Marcel-Sainte-Colombe, rue Picpus à Paris, il fréquente en même temps La Salpêtrière et l’Hôtel-Dieu. Il collabore à la fondation des Annales médico-psychologiques où il publiera ses principaux travaux. Dès 1826 il présente un Mémoire sur la monomanie homicide, puis en 1829 Mémoire sur les congestions épileptiformes chez les aliénés. En lire plus