Jean Finot. Parmi les saints et les possédés. Extrait de la « Revue des Revues », (Paris), 15 septembre 1895, pp. 483-491. Jean Finot [Jean Finckelhaus] (1858-1922). Journaliste et sociologue. Connu par ses positions radiales opposées à toutes formes de théories racistes, mais aussi par son militantisme dans la lutte anti-alcoolique. Quelques publications : — Le Préjugé des races, Paris, L’alarme, 1906. — L’Union sacrée contre l’alcoolisme, Paris, L’Alarme, 1910, 227 p. — La Charte de la femme… suivie d’une enquête sur le vote politique des femmes en France, Paris, Publications de l’union française pour le suffrage des femmes, Paris, 1910 — L’Agonie et la Mort des races, Paris, La Revue, 1911, 141 p. — Préjugé et Problème des sexes, Paris, F. Alcan, 1912, 524 p. En lire plus
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Salomon Reinach. Les carnassiers androphages dans l’art gallo-romain. Extrait de la « Revue Celtique », (Paris) 25, 1904, p. 208-224
Salomon Reinach. Les carnassiers androphages dans l’art gallo-romain. Extrait de la « Revue Celtique », (Paris) 25, 1904, p. 208-224. Salomon Hermann Reinach (1858-1932). Archéologue et historien de l’art. Esprit éclectique il laisse une oeuvre considérable, dans laquelle ses études sur l’histoire des religions, ainsi qu’un documentation encyclopédique dans des répertoires qui comprennent plus de 80.000 dessins. Quelques publications : — Gilles de Rais. Extrait de la Revue de l’Université de Bruxelles, décembre 1904. – Et tiré-à-part : Liège, Imprimerie électro-mécanique La Meuse, 1904. 1 vol. in-8°, 26 p., 1 ffnch. C’est de celui-ci que nous avons tiré le texte ci-dessous. [en ligne sur notre site] — Cultes mythes et religions. Paris, Editions Rober Laffont, 1999. 1 vol. 1258 p. Dans la En lire plus
S. Berger. Les superstitions populaires dans le Liber scarapsus. Extrait de la revue « Mélusine », II, 1885, colonnes 25-27.
S. Berger. Les superstitions populaires dans le Liber scarapsus. Extrait de la revue « Mélusine », II, 1885, colonnes 25-27. [colonne 25] LES SUPERSTITIONS POPULAIRES DANS LE Liber scarapsus (1). Le christianisme fut long à s’établir dans les Gaules et le paganisme y eut pendant bien des siècles des adhérents. Ce ne fut que vers la fin du IVe siècle que saint Martin fit prévaloir la foi nouvelle dans les pays du centre de la France, et, deux cents ans plus tard, la lutte contre l’ancienne religion durait encore dans ces régions. Les confins de la Germanie ont conservé plus longtemps encore les superstitions païennes, et les vies des saints montrent, jusqu’au VIIIe siècle, les provinces de l’Est parcourues par les apôtres En lire plus