Michel Collée – Les représentations d’Adam et Eve. Album n°1. 2017. Toujours dans le cadre de notre travail sur l’histoire de la folie, qui s’attache aux textes, mais aussi à l’iconographie, nous avons choisi ce thème des Représentations d’Adam et Eve, parmi de très nombreuses images. Nous partagerons nos albums en plusieurs déclinaisons dont les une chronologiques : le Moyen-Âge, les autres thématiques… à découvrir. Adam and Eve, miniature, XVI siècle., Florence, Italie. Adam and Eve. The Salzburg Missal, Vol.2, c. XVe siècle, BSB Clm 15711, f. 31v, Bavarian State Library. (détail) Adam and Eve. The Salzburg Missal, Vol.2, c. XVe siècle, BSB Clm 15711, f. 31v, Bavarian State Library. Adam et Eve – Album de Charles E Cartolano. Adam et En lire plus
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Reinhold Kohler. Le Diable et les Rognures d’ongles. Article paru dans la revue « Mélusine », (Paris), première année, 1878, colonne 549.
Reinhold Köhler [Koehler]. Le Diable et les Rognures d’ongles. Article paru dans la revue « Mélusine », (Paris), première année, 1878, colonne 549. Reinhold Kohler (1830-1892). Historien de la littérature allemande, bibliothécaire, folkloriste et philologue. Köhler était le bibliothécaire en chef à la bibliothèque grand-ducale de Weimar. Le Diable et les Rognures d’ongles J. Wiedemann raconte ce qui suit à la page 491 de son livre : Aus dem inneren und œusseren Leben der Ehsten. Saint-Pétersbourg, 1876. « Lorsqu’on se coupe les ongles aux doigts de la main ou du pied, on doit les cacher dans le sein si l’on ne veut pas encourir de responsabilité au jour du jugement. Si on les jette à terre, le diable les ramasse et s’en En lire plus
De Méry. Incuboni pileum rapere. Histoire générale des proverbes, adages, sentences, apophthegmes, Vol. 1, Paris, Delongchamps, 1828, p. 159, 56.
De Méry. Incuboni pileum rapere. Histoire générale des proverbes, adages, sentences, apophthegmes, Vol. 1, Paris, Delongchamps, 1828, p. 159, 56. Incuboni pileum rapere. Enlever le chapeau à un lutin. Le peuple de Rome croyait que les trèsors cachés dans la terre étaient gardés par des lutins. Dans le prologue de l’Auluiaria, de Plaute, un de ces lutins dit, qu’il garde depuis long-temps dans la maison un trésor caché, qui lui avait été confie par l’aïeul du maître. On ajoutait que, si l’on pouvait prendre le chapeau d’un de ces lutins on le forçait de découvrir ce trésor. Virgile, dans le second livre de ses Géorgiques, fait allusion à cette croyance superstirueuse : Condit opes alius, dofossoque incubot auro. « Cet autre amasse En lire plus