La Rédaction. Aperçu historique du mouvement psychanalytique en France. Article parut dans « L’Evolution psychiatrique », (Paris), Editions Payot, 1925, pp. 11-26. Article probablement rédigé par Angelo Hesnard (1886-1969) et co-signé par les membres de la rédaction. – Certainement le premier article historique sur la psychanalyse, ce qui en fait un document incontournable. La plupart des historiens de cette discipline y ont puisé leurs sources, sans, toutefois, toujours les mentionner. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original. – Par commodité nous avons renvoyé les notes originales de bas de page en fin d’article. – Les images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de En lire plus
Articles du mot-clé : histoire
La psychanalyse et les sciences anciennes. Les doctrines philosophiques. Par René Allendy. 1925.
René Allendy. La psychanalyse et les sciences anciennes. Les doctrines philosophiques. Article paru dans « l’évolution psychiatrique », (Paris), 1925, pp. 258-276. René-Félix Allendy (1882-1942.). Médecin et homéopathe, il s’intéressa à la psychanalyse dès 1920 et devint psychanalyste après avoir fait son analyse avec René Laforgue. Un des douze fondateurs, à l’initiative René Laforgue et Marie Bonaparte, de la Société psychanalytique de Paris en 1926. Il aura comme patient, entre autres, Antonin Artaud et Anaïs Nin. Sa thèse de médecine, L’alchimie et la médecine, dénote son intérêt précoce et jamais démenti pour l’occultisme. Nous retiendrons son rapprochement des théories surréaliste et l’ouvrage qu’il écrivit Capitalisme et sexualité, qui semble aujourd’hui de toute actualité. – Quelques autres articles de cet auteur : — La libido. Article parut En lire plus
L’année 1885 ou la naissance du XXe siècle. Par Michel Collée.
L’année 1885 ou la naissance du XXe siècle. Par Michel Collée. Le XXe siècle n’eut pas la patience d’attendre la date officielle de son avènement ; il est né, non sans éclats, en 1885. En mai 1885, quatre mois après un monumental banquet national organisé à l’occasion de son quatre-vingt troisième anniversaire, Victor Hugo meurt. Maurice Barrès dans les « Déracinés » (1), dépeint la nuit du 31 mai 1885, soir de l’enterrement comme suit : Ce fut une nuit de vertige, dissolue et pathétique, où Paris fut enténébré des vapeurs de son amour pour une relique. Peut-être la grande ville cherchait-elle à réparer sa perte. Ces hommes, ces femmes avaient-ils quelques instincts des hasards brûlants d’où sort le génie ? Combien de femmes se En lire plus