Évariste Warlomont. La maladie des mystiques. – Louise Lateau. Article parut dans la « Revue Scientifique de la France et de l’Étranger Revue des cours scientifiques », (Paris), tome VIII, tome XV de la collection, 4e année, 2e semestre, janvier à juillet, n°41, 10 avril 1875, pp. 957-968 sur 2 colonnes. Sont publiés ici les principaux éléments du rapport effectué par E. Warlomont à la demande des autorités sur la stigmatisée Louise Lateau. Évariste Warlomont (1820-1899). Docteur en médecine, ophtalmologiste, Membre et Président (1886) de l’Académie royale de Médecine de Belgique. Rapport de la Commission qui a été chargée d’examiner le travail de M. le Dr Charbonnier intitulé : Maladies et facultés diverses des Mystiques, Bruxelles, Bulletin de l’Académie de Médecine de Belgique, En lire plus
Articles du mot-clé : extase
Notes prises à Konnersreuth [sur la stigmatisée Thérèse Neumann]. Par Bruno de Jésus-Marie [Froissard Jacques]. 1936.
Bruno de Jésus-Marie. Notes prises à Konnersreuth. Article parut dans la revue les « Études carmélitaines », (Paris), 20e année. — Vol. II., octobre 1936, pp. 164-170. Bruno de Jésus-Marie [Froissard Jacques] (1892-1962), né à Bourbourg (59630) en 1892. Entre dans l’Ordre à Avon et fait profession en 1921. Conseiller Provincial en 1930.En 1931, il termine sa biographie de S. Jean de la Croix. Elle paraît avec une préface de son ami le philosophe Jacques Maritain et fera longtemps autorité en dehors du monde hispanophone. La même année il lance les nouvelles Études Carmélitaines et, s’entourant d’éminents scientifiques de diverses disciplines, en fait la référence unanimement respectée en Psychologie religieuse. En 1943, il publie son étude sur la Bse Marie de l’Incarnation : « La En lire plus
Les mystiques extatiques et les stigmatisés. Par Alfred Maury. 1855.
Alfred Maury. Les mystiques extatiques et les stigmatisés. Article parut dans la revue « Annales médico-psychologiques », (Paris), 2e série, tome premier, 1855, pp. 181-232. Louis-Ferdinand-Alfred MAURY (1817-1892). Très tôt, dès 1836, il se consacre à l’étude de l’archéologie des langues anciennes et modernes, de la médecine et du droit. Son poste officiel à la Bibliothèque nationale, puis à la celle de l’Institut, lui permet d’être au centre du dispositif de ses recherches. Dès l’origine membre de la Société des Annales médico-psychologiques, bien de non médecin, il sera un contributeur zèlé de celles-ci. Ses travaux sur le sommeil et les rêves, en particulier l’analyse de ses propres rêves, en font un précurseur, sur bien des points, des théories que développa la psychanalyse, ainsi En lire plus