Jean Heitz. Les démoniaques et les maladies dans l’art byzantin [Partie 1]. Article parut dans la revue « Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière », (Paris), tome XIV, 1901,pp. 84-96. Pour faire suite à l’article de Paul Richer et Henry Meige, Documents inédits sur les démoniaques dans l’art, publié ici même. [voir article sur notre site]. Nous savons peu de chose de ce médecin ; nous ne connaissons que sa date de décès, en 1930. Il écrivit plusieurs articles sur les pathologies cardiaques et plusieurs sur les démoniaques dans la Nouvelle iconographie de la Salpêtrière dont les principaux : —Note sur trois dessins de Jordaens. Article parut dans la revue « Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière », (Paris), tome seizième, 1903, pp. 171-172, 1 planche hors-texte. [en ligne sur notre En lire plus
Articles du mot-clé : exorcisme
La démonopathie dans l’histoire. Notes pour servir à l’histoire des possessions démoniaques. Par le Dr V. Lebond. 1909.
V. Leblond. La démonopathie dans l’histoire. Notes pour servir à l’histoire des possessions démoniaques. Article parut dans la revue « La Chronique médicale », (Paris), 1909, 16e année, n° 22, pp. 721-729. – Et Tiré-à-part : Paris, Société française d’imprimerie et de librairie, 1910. 1 vol. in-8°, 11 p. Le Dr V. Leblond nait le 1862. Ancien interne des Hôpitaux de Paris et Président de la Société académique de l’Oise, il fut l’auteur de plusieurs monographies sur le beauvaisis. Le plus importante et la plus connue est : — L’Art et les artistes en Île-de-France au XVIe siècle. Paris, E. Champion, 1921, 1 vol. in-8°, 352 p. Mais il s’intéressa également beaucoup aux possessions démoniaques et nous permis d’avoir accès à plusieurs documents originaux de première En lire plus
Les possédées de Morzine ou le diable qui n’y voit goutte. Par Joseph Tissot. 1865.
Joseph Tissot. Les possédées de Morzine ou le diable qui n’y voit goutte. Article parut dans la « Revue moderne », (Paris), Aux bureaux de la Revue moderne, tome trente-troisième, 1865, pp. 315-342. Une analyse critique, souvent incisive, qui relève beaucoup de contradictions dans les relations parallèles qui existent. Tissot qui est philosophe, reprend une manière bien ancienne de narrer les événements, sous forme d dialogues. Il se mêle à la population, partage leurs repas, et se livre à des « expériences » démystificatrices, comme de mélanger de l’eau bénite à la nourriture, pour observer les réactions des possédées. « Ces malades, vraies malades, sont possédées de l’idée d’être possédées. » Joseph Tissot (1801-1876). Philosophe, auteur de : De la manie du suicide et de l’esprit de En lire plus