Articles du mot-clé : diable

Magnétisme et somnambulisme. Par l’abbé Joly. 1848.

Nous savons peu de choses sur l’abbé Joly, sinon qu’il fut magnétiseur à Rouen (70 boulevard Beauvoisin) dans les années 1850. Nous avons choisi une publication, que nous n’avons trouvée nulle part répertoriée. comportant de remarquables remarque sur les états somnambuliques, qui deviendront l’hypnotisme. Cette plaquette manque à la B. n. F. et est inconnu à Albert L. Caillet, Manuel bibliographique des sciences psychiques ou occultes. Paris, 1912. Nous connaissons deux autres publications répertoriées que nous mettrons en ligne prochainement : L’an 1849. Succès nouveau d’une grande importance, et inoui de nos jours, obtenu par le magnétisme vital. Paris, Chez tous les Libraires, s. d. [1849]. 1 vol. 16 p. Lettre de l’abbé Joly, ancien curé de Selles et du Bec, à En lire plus

Hystérie et superstitions religieuses. Par J. Morin. 1909.

L’article que nous reprenons ici dans son intégralité a été écrit par J. Morin et s’intitule, L’hystérie et les superstitions religieuses. Il a été édité d’abord dans la revue « Pages libres », à Paris, par L’émancipatrice (Imprimerie communiste), en 1901, dans les numéros des 8 et 15 juin. Il fut édité en tiré-à-part : Paris, L’émancipatrice, 1902, 1 vol. in-8°, 24 p. C’est celui-ci qui fut notre support. On ne sait rien de l’auteur.   J. MORIN L’HYSTÉRIE ET LES SUPERSTITIONS RELIGIEUSES Paris, L’émancipatrice (Imprimerie communiste), 1909 L’Hystérie et les Superstitions Religieuses La médecine, avant d’être enseignée dans les écoles, fut pendant longtemps, dans l’antiquité, cultivée dans les temples, ne formant d’abord, comme en Grèce et en Egypte, avec la religion qu’un système unique. Quelques connaissances médicales étaient En lire plus

Des Sorcières et Devineresses. Ulrich Molitor.

Ulrich Molitor (dit aussi Molitoris) est né vers 1442 et mort en 1507. Ce juriste fut professeur à l’Université de Constance à Padoue. Il est connu pour avoir écrit et publié un traité sur la sorcellerie (le premier illustrée et certainement un des tous premiers publié sous forme d’incunable) dont il semble qu’il ne fut jamais complété. De Lamiis et Pytjonicis mulieribus (Des sorcières et Devineresses (Oracles femmes)), 1489. Molitor est très ambivalent quant à la sorcellerie : d’une part il défend la peine de mort pour les hérétiques et les sorciers (auxquels il porte crédit, donc), et d’autre part il soutient que le sabbat n’est qu’une illusion, mais illusion causée par le diable. A l’époque l’archiduc Sigismond d’Autriche, en délicatesse En lire plus