Sophie Morgenstern. La Pensée magique chez l’enfant.] in « Revue Française de Psychanalyse », (Paris), 1934, VII, 1, pp. 99-115. Sophie Morgenstern (1875-1940). Psychiatre et psychanalyse. Formée à la faculté de médecine de Zurich, puis au Burghölzli avec Eugen Bleuler et Eugène Minkowski. Elle fut analysée par Eugénie Sokolnicka. C’est elle qui initia la psychanalyse des enfants en France ; recrutée par Georges Heuyer à l’hôpital de Vaugirard en 1924 ; elle eut une influence déterminante sur Serge Lebovici et Françoise Dolto. Sesprincipales publications de librrairie : La structure de la personnalité et ses déviations. Paris, Editions Denoël, 1939. 1 vol. 16/24.7, 83 p. Dans la « Bibliothèque psychanalytique ». Broché. Psychanalyse infantile. Symbolisme et valeur clinique des créations imaginatives chez l’enfant. Ouvrage illustré de En lire plus
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Le travail du deuil. Ethnologie et Psychanalyse. par Daniel Lagache. 1938.
Daniel Lagache. Le travail de deuil. Article parut dans la « Revue française de psychanalyse », (Paris), volume 16, n°4, 1938, pp., et tiré-à-part : Paris, Les éditions Denoël, 1939. 1 vol. in)8 ; 22 p., 1 fnch. Dans la « Bibliothèque de psychanalyse ». Daniel Lagache (1903-1972). Philosophe de formation, psychiatre et psychanalyse, élève de Georges Dumas, puis de Henri Claude, il sera, avec Jacques Lacan, un des fondateurs de la Société française de psychanalyse, puis en 1954 le fondateur de l’Association psychanalytique de France ; il est bien connu pour avoir initié un classique de la psychanalyse, Le Vocabulaire de la Psychanalyse, rédigé par Jean Laplanche et Jean-Bertrand Pontalis en 1962. Quelques uns de ses travaux : Les hallucinations verbales de ma parole. (Thèse de médecine). 1934. En lire plus
Les possédées de Morzine ou le diable qui n’y voit goutte. Par Joseph Tissot. 1865.
Joseph Tissot. Les possédées de Morzine ou le diable qui n’y voit goutte. Article parut dans la « Revue moderne », (Paris), Aux bureaux de la Revue moderne, tome trente-troisième, 1865, pp. 315-342. Une analyse critique, souvent incisive, qui relève beaucoup de contradictions dans les relations parallèles qui existent. Tissot qui est philosophe, reprend une manière bien ancienne de narrer les événements, sous forme d dialogues. Il se mêle à la population, partage leurs repas, et se livre à des « expériences » démystificatrices, comme de mélanger de l’eau bénite à la nourriture, pour observer les réactions des possédées. « Ces malades, vraies malades, sont possédées de l’idée d’être possédées. » Joseph Tissot (1801-1876). Philosophe, auteur de : De la manie du suicide et de l’esprit de En lire plus