Paul Richer et Henry Meige. Les possédés de P. Bronzet. Extrait de la revue « Nouvelle iconographie de la Salpêtrière », (Paris), tome septième, 1894, pp. 258-262, 2 planches hors-texte. Pour faire suite aux articles de Paul Richer et Henry Meige, Jean Heitz, André Marie ou encore L. Bataille, Documents inédits sur les démoniaques dans l’art. Dans cette série Les démoniaques dans l’art à l’Ecole de la Salpêtrière, quelques publications répertoriées. et pour la plupart en ligne sur notre site : — Bataille L. Les miracles de saint Ignace de Loyola. 1894.[En ligne sur notre site] — Paul Richer et Henry Meige. Les démoniaques dans l’art, documents inédits. 1896. [En ligne sur notre site] — Jean Heitz. Les démoniaques et les maladies En lire plus
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Biographie de Jeanne Harviliers. Par Barraud. 1846.
Barraud. Biographie de Jeanne Harviliers. Article parut dans le « Bulletin de la Commission Archéologique du diocèse de Beauvais », (Beauvais), 1846, 1, pp. 183-192. Jeanne Harviliers, condamnée à être brûlée, comme empoisonneuse, en 1578. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original, mais avons corrigé les fautes d’impression. – Les images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr [p. 183] BIOGRAPHIE DE JEANNE HARVILIERS par BARRAUD. Verberie donna le jour, en 1528, à une femme qui, par ses pratiques superstitieuses et ses crimes, s’acquit une triste célébrité, et dont le procès donna En lire plus
Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. Par Alfred Maury. 18532.
Alfred Maury. Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. in « Annales médico-psychologiques », (Paris), deuxième série, tome 5, 1853, pp. 404-421. Louis-Ferdinand-Alfred-Maury nait à Meaux en 1817 et meurt à Paris en 1892. Il prépare d’abord l’Ecole polytechnique sur l’incitation de son père ; en 1836, cédant à son goût pour l’érudition, et à sa curiosité naturelle, il demande à être attacher à la Bibliothèque royale, qu’il quitte pour s’engager dans l’étude de l’histoire des religions ; puis la médecine l’attire à son tour et il entreprends ses études de médecine qu’il abandonne, mais qui lui permettent de faire la connaissance de Lélut, Baillarger, Moreau de Tous, entre autres. Ces connaissances et son érudition, alors qu’il n’est pas En lire plus