Nicolaï Kostyleff. Sur la formation du complexus érotique dans le sentiment amoureux. Article parut dans la « Revue Philosophique de la France et de l’Etranger », (Paris), tome LXXIX, janvier à juin 1915, pp. 159-179. Nicolaï Kostyleff fut maître de conférence à l’Ecole des Hautes Etudes. C’est à peu près tout ce que savons de la biographie de Kostyleff. Même pas ses dates de naissance et de mort. Les historiens de la psychanalyse (E. Roudinesco, A. de Mijolla, O. Douville, et d’autres) ne nous renseignent pas plus. Il fut d’abord un fervent défenseur et promoteur de la psychanalyse, avant de porter son intérêt vers 1914-1915. Nous avons retenu quelques unes de ses publications : — Les derniers Travaux de Freud et le problème de l’hystérie. En lire plus
Articles du mot-clé : association
Ce que la Clinique française a retenu de la Psychanalyse. Par Angelo Hesnard. 1935.
Angelo Hesnard (Dr). Ce que la clinique française a retenu de la Psychanalyse, Article perçut dans lld journal «La Clinique », n° 240, Février 1935 (B). t tiré-à-ârt : 1 vol; in)8°, 15 P; Angelo Louis Marie Hesnard (né à Pontivy (Morbihan) le 22 mai 1886 et décédé à Rochefort-sur-mer le 17 avril 1969). Médecin-Général de la Marine Nationale, neuropsychiatre, membre fondateur de la Société Psychanalytique de Paris (S.P.P.), président de la Société Française de Psychanalyse (S.F.P), professeur de neuropsychiatrie et de Médecine légale ) l’Ecole de Santé Navale de Bordeaux et à l’Ecole d’Application du Service de Santé de la Marine. Il reste une figure de l’introduction de la psychanalyse en France, même si, a y regarder de plus près, il En lire plus
Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. Par Alfred Maury. 18532.
Alfred Maury. Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. in « Annales médico-psychologiques », (Paris), deuxième série, tome 5, 1853, pp. 404-421. Louis-Ferdinand-Alfred-Maury nait à Meaux en 1817 et meurt à Paris en 1892. Il prépare d’abord l’Ecole polytechnique sur l’incitation de son père ; en 1836, cédant à son goût pour l’érudition, et à sa curiosité naturelle, il demande à être attacher à la Bibliothèque royale, qu’il quitte pour s’engager dans l’étude de l’histoire des religions ; puis la médecine l’attire à son tour et il entreprends ses études de médecine qu’il abandonne, mais qui lui permettent de faire la connaissance de Lélut, Baillarger, Moreau de Tous, entre autres. Ces connaissances et son érudition, alors qu’il n’est pas En lire plus