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Les démoniaques dans l’art. [A propos de l’ouvrage de Charcot et Richer]. Par Emile Blémont. 1887.

Emile Blémont. Les démoniaques dans l’art. Article paru dans la revu « La Tradition, Revue générale des Contes, Légendes, Chants, Usages, Traditions et Arts Populares », (Paris), A. Duprat éditeur, n°2, mai 1887, pp. 58-60. Emile Blémont est le pseudonyme de Léon-Émile Petitdidier, né en 1839 et mort en 1927. Il fonda la revue La Tradition, la Revue du Nord, Le Monde poétique et Le penseur. Les [p., col.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original.
 – Les images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr [p. 58] LES DÉMONIAQUES DANS L’ART Nous recommandons En lire plus

La Pensée magique dans l’art. Par Adrien Borel. 1934

BOREL Adrien. La Pensée magique dans l’art. In « Revue Française de Psychanalyse », (Paris), 1934, VII, l, p. 66-83. Borel Adrien (1886-1966). Psychiatre et psychanalyste français. L’un des membre fondateur de L’Evolution psychiatrique puis de La Société Psychanalytique de Paris (S.P.P.). Son principal ouvrage : Les rêveurs éveillés. Paris, Editions Gallimard, 1925. Et en collaboration avec Gilbert-Robin (1893-1967), Les rêveurs : considérations sur les mondes imaginaires. Paris, Payot, 1925. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’ouvrage. – Par commodité nous avons renvoyé la note originale de bas de page en fin d’article. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original, mais nous avons corrigé les fautes de composition.
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L’année 1885 ou la naissance du XXe siècle. Par Michel Collée.

L’année 1885 ou la naissance du XXe siècle. Par Michel Collée. Le XXe siècle n’eut pas la patience d’attendre la date officielle de son avènement ; il est né, non sans éclats, en 1885. En mai 1885, quatre mois après un monumental banquet national organisé à l’occasion de son quatre-vingt troisième anniversaire, Victor Hugo meurt. Maurice Barrès dans les « Déracinés » (1), dépeint la nuit du 31 mai 1885, soir de l’enterrement comme suit : Ce fut une nuit de vertige, dissolue et pathétique, où Paris fut enténébré des vapeurs de son amour pour une relique. Peut-être la grande ville cherchait-elle à réparer sa perte. Ces hommes, ces femmes avaient-ils quelques instincts des hasards brûlants d’où sort le génie ? Combien de femmes se En lire plus