Alfred Maury. Sur un miroir magique. Extrait de la « Revue archéologique », (Paris), 2e année, n°1, 15 avril au 15 septembre 1846, pp. 154-170. Comme tout les sujets abordés par Maury, celui-ci est passionnant et a requis un prodigieux sens de la recherche et d’érudition. Ces recherches comprennent 2 articles distribués en 4 parties, comme suit : — Recherches sur l’origine des représentations figurées de la psychostasie ou pèsement des âmes et sur les croyances qui s’y rattachaient. Premier article. Article paru dans la « Revue d’Archéologie, (Paris), Presses Universitaires de France, 1ère année, n°1, 15 avril au 15 septembre 1844, pp. 235-249. — Recherches sur l’origine des représentations figurées de la psychostasie ou pèsement des âmes et sur les croyances qui s’y En lire plus
Articles du mot-clé : aliénation
Amédée Dechambre. Songe. « Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales », (Paris), troisième série, tome dixième, SIR — SPE, 1881, pp. 408-432.
Amédée Dechambre. SONGE. « Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales », (Paris), troisième série, tome dixième, SIR — SPE, 1881, pp. 408-432. Amédée Dechambre (1812-1886). Médecin qui se livra à l’écriture en débutant dans L’Esculape, journal de spécialités médico-chirurgical. En 1841 il créa l’Examinateur médical, qu’il dirigea jusqu’en 1843. Mais son œuvre restera jusqu’à aujourd’hui la direction du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales et les très nombreuses rubriues qu’il rédigea, de 1864 à 1889, en 100 volumes. [p. 408] SONGE. Songe et rêve sont au fond un même état psychologique et physiologique. Dans l’un comme dans l’autre, les images, les idées, les sentiments, se succèdent et s’associent sans action directrice ; seulement on réserve de préférence le nom de songe pour le cas où En lire plus
Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. Par Alfred Maury. 18532.
Alfred Maury. Nouvelles observations sur les analogies des phénomènes du rêve et de l’aliénation mentale. in « Annales médico-psychologiques », (Paris), deuxième série, tome 5, 1853, pp. 404-421. Louis-Ferdinand-Alfred-Maury nait à Meaux en 1817 et meurt à Paris en 1892. Il prépare d’abord l’Ecole polytechnique sur l’incitation de son père ; en 1836, cédant à son goût pour l’érudition, et à sa curiosité naturelle, il demande à être attacher à la Bibliothèque royale, qu’il quitte pour s’engager dans l’étude de l’histoire des religions ; puis la médecine l’attire à son tour et il entreprends ses études de médecine qu’il abandonne, mais qui lui permettent de faire la connaissance de Lélut, Baillarger, Moreau de Tous, entre autres. Ces connaissances et son érudition, alors qu’il n’est pas En lire plus