L. H. Petit. Hystéro démonopathie. Extrait de la « Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie », (Paris), série 2, tome 18, 1881, pp. 622-623.
Nous n’avons trouvé aucun renseignement biographique sur cet autre. Seulementqu’il fut médecin et qu’il fut un collaborateur régulier de la Gazette hebdomadaire de médecine et de chirurgie.
Quelques publications :
Une épidémie d’hystéro-démonopathie en 1878, à Versegnis, province de Frioul, Italie. Extrait de la« Revue des cours scientifiques de la France et de l’Étranger ». (Paris), deuxième série, tome XVIII, tome XXV de la collection, 9e année, 2e semestre, n° avril 1880, p. 973-978. [en ligne sur notre site]
— La psychopathie religieuse d’Alia. Extrait de la revue « L’Encéphale », (Paris), Première année, 1881, pp. 853-858. [en ligne sur notre site]
Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Les images été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr
[p. 622, colonne 1 – feuilleton]
Les épidémies d’hystéro démonopathie abondent pour le [p. 622, colonne 2 – feuilleton] moment. Après celle de Verzégnis, dont nous avons rendu compte dans la Revue scientifique le 10 avril 1880, après celle de Bordeaux dans la Gazette a parlé il y a quelques mois, en voici d’autres, l’une à Alia (Italie), localité située dans des conditions encore plus arriérées que Verzégnis ; et l’autre à Vinzier ; commune qui, comme Morzine, ou éclata une épidémie analogue il y a une vingtaine d’années, fait partie de l’arrondissement de Thonon (Haute-Savoie).
A Alia, on dirait un épidémie par l’emprisonnement de la névropathe qu’il avait provoquée ; cet acte fut considéré comme un sacrilège par la population, il est nul pour résultat car un doublement de fanatisme et de délire. A Vinzier, comma à Verzégnis et à Bordeaux, l’intimidation eu plus de succès. Alors que le diable faisait des siennes, le sous-préfet accompagné du lieutenant de gendarmerie et de quelques gendarmes, fit une visite officielle dans le pays ; mais ce jour-là le diable disparu, il est conditionnèrent jouir d’un calme remarquable. [p. 623, colonne 1- feuilleton]
Puisque les gendarmes ont sûr c’est malheureux une action aussi efficace, peut-être serait-il indiqué de faire loger c’est bon visiter chez l’habitant, ce qu’on a fait à Verzégnis, mais peut-être pas assez strictement, ou bien, au rebours de s’occuper du colonel de la femme à Papa, mais Internet est malade dans une caserne de gendarmerie jusqu’à cessation complète des visites du diable.
L. H. Petit.
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