René Allendy. Les Névroses. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°24, 1924, de 8 pages (non paginée). René-Félix Allendy (1882-1942.). Médecin et homéopathe, il s’intéressa à la psychanalyse dès 1920 et devint psychanalyste après avoir fait son analyse avec René Laforgue, avec qui il collabora pour plusieurs articles. Un des douze fondateurs, à l’initiative René Laforgue et Marie Bonaparte, de la Société psychanalytique de Paris en 1926. Il aura comme patient, entre autres, Antonin Artaud et Anaïs Nin. Sa thèse de médecine, L’alchimie et la médecine, dénote son intérêt précoce et jamais démenti pour l’occultisme. Nous retiendrons son rapprochement des théories surréaliste et l’ouvrage qu’il écrivit Capitalisme et sexualité, qui semble aujourd’hui de toute actualité. – Quelques autres articles de cet auteur En lire plus
Articles de la catégorie : Psychiatrie
Ernest Dupré et Logre. Émotion et Commotion. Extrait du « Bulletin de l’Académie nationale de Médecine », (Paris), quatre-vingt-deuxième année, 3e série, tome LXXX, 1918, pp. 124-134.
Ernest Dupré et Logre. Émotion et Commotion. Extrait du « Bulletin de l’Académie nationale de Médecine », (Paris), quatre-vingt-deuxième année, 3e série, tome LXXX, 1918, pp. 124-134. Le texte princeps du concept de délire imaginatif ou délire d’imagination, pour faire suite à celui de Mythomanie créé en 1905, par Ernest Dupré, mais aussi à celui de délire d’interprétation de Paul Sérieux et Joseph Capgras. Ferdinand Pierre Louis Ernest Dupré (1862-1921). Médecin et aliéniste, élève de Chauffard, de Landouzy et de Brouardel, il fut très influencé par Auguste Motet, directeur de la maison de santé de Charonne. C’est en 1905 qu’il propose le terme de mythomanie pour désigner la tendance volontaire et consciente de l’altération de la vérité. Il défend les théories des « constitutions », en reprenant et En lire plus
Connais-toi par la psychanalyse, par. J. Ralph, Paris (Payot) 1924, in-8 carré 283 pages. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°, pp. 2343.
Anonyme. Connais-toi par la psychanalyse, par. J. Ralph, Paris (Payot) 1924, in-8 carré 283 pages. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°, pp. 2343. Les personnes, encore nombreuses, qui combattent la Psychanalyse, parce qu’elle choque la pudeur, ont coutume de proclamer qu’il est dangereux d’aller chercher dans le fond de l’inconscient les impulsions instinctives et de les amener à la lumière de la conscience. Elles pensent que c’est le moyen de leur donner de la force et qu’on agit ainsi à l’encontre de l’évolution qui les a fait passer du conscient à l’inconscient. Leur erreur consiste précisément en ce que cette mise en lumière devant une conscience évoluée est moyen certain d’anéantir la puissance aveugle et mauvaise de l’instinct. En lire plus