Articles de la catégorie : Dégénérescence

Des Autoérotismes agressifs par la Griffe et par la Dent. Par Marie Bonaparte. 1933.

Marie Bonaparte. Des Autoérotismes agressifs par la Griffe et par la Dent. Articlé parut dans la « Revue française de psychanalyse », (Paris), tome VI, n)2, 1933, pp. 192-216. Et tiré-à-part sur lequel nous avons étable le etxe mis en ligne : Marie Bonaparte. Des Autoérotismes agressifs par la Griffe et par la Dent. Paris, Les éditions Denoël et Steele, 1933. Dans la Bibliothèque psychanalytique. 1 vol. in-8°, 27 p. Nous ne présenterons pas la Princesse Marie Bonaparte (1882-1962) bien connue, entre autre, pour avoir permis à Freud de s’exiler à Londres après que sont pays fut passé sous le joug nazi. Nous renvoyons aux biographies existantes et particulièrement à celle de Célia Bertin. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale En lire plus

Traité des dégénérescences. Atlas. De Bénédict-Augustin Morel.

Nous renvoyons à notre article biographique sur Bénédict-Augustin Morel  (1809-1873). Cet Atlas est celui du Traité des dégénérescences physiques, intellectuelles et morales de l’espèce humaine et des causes qui produisent ces variétés maladives. Paris, Londres et New-York, J.-B. Baillière, 1857. 1 vol. 13.5/21.7 [in-8°], XIX p., 700 p. – atlas. DES DÉGÉNÉRESCENCES PHYSIQUES, INTELLECTUELLES & MORALES DE L’ESPÈCE HUMAINE CONSIDÉRATIONS PRÉLIMINAIRES   La constance et l’uniformité des déformations physiques chez les êtres dégénérés, indiquent la préexistence de causes qui agissent d’une manière invariable et qui tendent à créer des types à forme déterminée. Les caractères de l’ordre intellectuel, physique et moral qui distinguent les variétés maladives des variétés naturelles dans l’espèce, ont été l’objet de mes recherches dans le Traité qui accompagne En lire plus

Morel Bénédict-Augustin (1809-1873)

Bénédict-Augustin Morel nait le 22 novembre 1809 à Vienne , en Autriche, au hasard des déplacements des troupes napoléoniennes. On ignore tout de sa mère. Son père, fournisseur des armées, ne s’occupera jamais de   lui. Il est confié, vers 1814, au directeur d’une Maison d’éducation du Luxembourg, l’abbé Dupont, à la charge de qui il reste au décès  et qui l’emmène avec lui à Saint-Dié à la chute de l’empire. Ces vicissitudes lui vaudront au moins une maîtrise parfaite de la langue allemande. Après un essai malheureux au séminaire, dont il est renvoyé, il arrive à Paris vers 1831, fait du journalisme, est pendant quatre ans précepteur dans une famille américaine et entreprends des études de médecine qu’il termine en En lire plus