Codet et Laforgue. Influence de Charcot sur Freud. Extrait du « Le Progrès médical », (Paris), n° 22, 30 mai 1925, pp. 801-802. Henri Codet (1889-1939). Dès ses premières année de philosophie il fut attiré par la psychiatrie, à la suite de la lecture de Pierre Janet. Il fut l’élève de Séglas et de Souques à la Salpêtrière. Chef de clinique de Henri Claude, il soutint une thèse qui restera une référence, tant pour le sujet traité, que par la forme, Le collectionnisme normal et pathologique (1921). Il fut avec son épouse, un des fondateurs du groupe de l’Evolution psychiatrique en 1925. Il sera parmi les fondateurs de la Société psychanalytique de Paris. Il mourra dans un accident de voiture En lire plus
Articles de la catégorie : Premiers Textes
René Allendy. Les Névroses. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°24, 1924, de 8 pages (non paginée).
René Allendy. Les Névroses. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°24, 1924, de 8 pages (non paginée). René-Félix Allendy (1882-1942.). Médecin et homéopathe, il s’intéressa à la psychanalyse dès 1920 et devint psychanalyste après avoir fait son analyse avec René Laforgue, avec qui il collabora pour plusieurs articles. Un des douze fondateurs, à l’initiative René Laforgue et Marie Bonaparte, de la Société psychanalytique de Paris en 1926. Il aura comme patient, entre autres, Antonin Artaud et Anaïs Nin. Sa thèse de médecine, L’alchimie et la médecine, dénote son intérêt précoce et jamais démenti pour l’occultisme. Nous retiendrons son rapprochement des théories surréaliste et l’ouvrage qu’il écrivit Capitalisme et sexualité, qui semble aujourd’hui de toute actualité. – Quelques autres articles de cet auteur En lire plus
Connais-toi par la psychanalyse, par. J. Ralph, Paris (Payot) 1924, in-8 carré 283 pages. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°, pp. 2343.
Anonyme. Connais-toi par la psychanalyse, par. J. Ralph, Paris (Payot) 1924, in-8 carré 283 pages. Extrait de la revue « L’Esprit nouveau », (Paris), n°, pp. 2343. Les personnes, encore nombreuses, qui combattent la Psychanalyse, parce qu’elle choque la pudeur, ont coutume de proclamer qu’il est dangereux d’aller chercher dans le fond de l’inconscient les impulsions instinctives et de les amener à la lumière de la conscience. Elles pensent que c’est le moyen de leur donner de la force et qu’on agit ainsi à l’encontre de l’évolution qui les a fait passer du conscient à l’inconscient. Leur erreur consiste précisément en ce que cette mise en lumière devant une conscience évoluée est moyen certain d’anéantir la puissance aveugle et mauvaise de l’instinct. En lire plus