Articles de la catégorie : Légendes et folklore

Les Jardins de Pan. Par Eric Duvivier. 2014.

– LES JARDINS DE PAN –   1 – ET IN ARCADIA EGO… La Vie ? Guéri. Mortellement guéri! Ses pas sont pareils à des échantillons de vie, perdus et desséchés, derrière lui, comme les pauvres squames secs de son existence. Des miettes, des flots cons de « n’ai-je… ? » Les miettes, les squames, les feuilles de l’Arbre de Vie? Il se retourne et les piétine, et son regard perce l’air -L’air de rien, se dit-il… – Volte face, pieds à terre, au pied du mur, le mur mûr de l’eau, l’eau des ponts, l’eau-delà. .. L’eau d’ici, l’eau de là, se dit-il… L’eau d’ici jusqu’à l’hallali! Ah, là, là ! Comme c’est loin la vie… ! Et, tout En lire plus

Les Aissaouas à l’Exposition de 1900. 1901.

La confrérie des Aïssaoua ou Aïssawa a été considérée comme une secte religieuse fondée au Maroc, à Meknès, par Muhammes ben Aîssâ (1465-1523). Ils sont célèbres encore aujourd’hui dans le monde pour leur musique et leurs chants religieux. Le fascicule que nous proposons ici fut édité à l’occasion de l’Exposition Universelle tenue à Paris en 1900. Elle est un des rares textes de l’époque traitant de ce curieux sujet. Les Aissaouas à l’Exposition de 1900. 1901. La Roche-sur-Yon, s. d. [1901]. 1 vol. in-18 [11/14.2], 74 p., 3 ffnch.  ffnch. [Référence : B. n. F. : 8- LI32- 34.] Le petit format du volume conditionne celle des reproductions photographiques, et donc de la qualité des images que nous reproduisons ici. La plupart sont En lire plus

Les farfadets ou tous les démons ne sont pas de l’autre monde. Par BERBIGUIER DE TERRE NEUVE DU THYM. Planches. Avec une observation de Henri LEGRAND DU SAULLE.

Berbiguier Alexis-Charles-Vincent, de Terre-Neuve du Thym [1764-1851]. Les farfadets ou tous les démons ne sont pas de l’autre monde. Paris, L’Auteur, 1821, 3 vol. in-8°, (LCIV [pour  p., 362 p.) + (463 p.) + (447 p.) + 8 planches hors texte. Orné d’un portrait de l’auteur et de sept lithographies dessinées par Quinart et gravées par Langlumé. L’auteur, qui s’intitulait lui-même le « fléau des sorciers » fut le patient de Philippe Pinel. Il pourchassa, dit-on, toute sa vie l’œuvre de ceux-ci, en détruisant en particulier les ouvrages de Pierre Le Loyer : Histoire des spectres. – Voir sur Berbiguier les Fous littéraires, de Philomneste Junior, et les Excentriques, de Champfleury. [Caillet n°973.], ainsi que l’ouvrage, beaucoup plus récent de Blavier. Ce dernier estime à environ 300 exemplaires le En lire plus