Charles Féré et Henri Lamy. La dermographie. Article paru dans la revue la « Nouvelle Iconographie Photographique de La Salpêtrière », (Paris), tome deuxième, 1889, pp. 283-289, 1 pl. ht.
Ce texte vient en complément de l’article paru l’année suivante : Ernest Mesnet. Autographisme et stigmates dans la sorcellerie au XVIe siècle. Paris, 1890, 1 vol. in-8°, 24 p., 3 planches hors texte. [en ligne sur notre site]
Charles-Samson Féré (1852-1907). Sera le secrétaire et le chef de laboratoire de Jean-Martin Charcot à La Salpêtrière, puis médecin aliéniste à l’hôpital de Bicêtre. Il sera un défenseur, presque outrancier, des théories du petit et du grand hypnotisme. Il écrira de très nombreux ouvrages et articles dans les domaines de la psychologie, la médecine, la sexualité, la criminologie, etc. Quelques une de ses publications :
— A propos d’un lapsus calami. Article parut dans la « revue Philosophique de la Frace et de l’Etranger », (Paris), 1886, 1, pp. 546-548. [en ligne sur notre site]
— Note sur un cas de paralysie hystérique consécutive à un rêve. Article parut dans la revue « Comptes rendus hebdomadaires des Séances et Mémoires de la Société de Biologie », (Paris), tome troisième, huitième série, année 1886, trente-huitième de la collection, pp. 541-542. [en ligne sur notre site]
— Le Magnétisme Animal. Deuxième édition avec figures dans le texte. Paris, Félix Alcan, 1887. En collaboration avec Alfred Binet.
— Dégénérescence et criminalité. Essai physiologique. Avec 21 graphique dans le texte. Paris, Félix Alcan, 1888.
— Du traitement des aliénés dans les familles. Deuxième édition revue et augmentée. Paris, Félix Alcan, 1893.
— La pathologie des émotions. Etudes physiologiques et cliniques. Paris, Félix Alcan, 1892.
— Sensation et mouvement. Etude expérimentale et psycho-physiologique. Avec 44 graphiques dans le texte. Paris, Félix Alcan, 1887.
— Les épilepsies et les épileptiques. Avec 12 planches hors texte et 67 figures dans le texte. Paris, Félix Alcan, 1890.
Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. — Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original. — Par commodité, nous avons renvoyé les notes de bas de page en fin d’article. — La planche reproduite est celle de l’article original. — Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr
[p. 283]
LA DERMOGRAPHIE
On a désigné sous les noms divers d’urticaire provoquée, urticaire graphique, dermato-neurose stéréographique, un phénomène singulier dû à une excitabilité spéciale de la peau, qui consiste dans l’apparition de saillies œdémateuses, entourées de rougeur, semblables aux plaques ortiées, pouvant former des figures variées à volonté, sous l’influence des excitations du tégument. Nous préférons la dénomination pure et simple de dermographie qui ne préjuge en rien de la nature des phénomènes.
Les traités classiques de dermatologie signalent bien à propos de l’urticaire l’excitabilité vaso-motrice que présente parfois la peau de malades atteints de cette affection. Mais Gull Ie premier (1) a traité la question avec quelques détails. Plus lard Zunker (2) a décrit minutieusement le phénomène qui nous occupe à propos de deux jeunes malades, atteints d’urticaire vraie. Dans la littérature française nons relevons plusieurs observations touchant le même sujet, faites principalement sur des hystériques. La plus connue est celle de Dujardin Beaumetz (3) (La femme-cliché). — Le fait a été noté chez deux hystériques du service de M. Charcot par MM. Bourneville et Regnard (4), Axenfeld (5) dans son Ttaié des névroses dit l’avoir observé deux fois. Enfin plus récemment, M. Chambard (6) en publiait une intéressante observation dans les Archives de neurologie et M. Lwoff (7) présentait un malade à la Société médico-psychologique. Antérieurement, le fait avait d’ailleurs été remarqué par Lorain, qui aimait, dit M. Renaut (8) (de Lyon à stigmatiser ses hystériques. [p. 284] de 10 pouces de de corps de donc de retour de tout ce que ce comportement de quelque chose de fax de l’équipe de France de basket deuitième de trouver. Pour chacun d’entre de de de de
La rareté du phénomène a sans doute été exagérée par la plupart des auteurs qui ont traité de la question ; car ayant eu l’occasion de le rechercher sur cent trente malades, épileptiques ou nerveux, nous l’avons observé, 7 fois avec une grande intensité, – 18 fois d’un degré moyen – 21 fois il était très faible – 91 fois il n’a pu être produit.
On peut dire que les conditions auxquelles est lié l’existence de la thermographie restent jusqu’ici très obscures, car l’attention n’a guère été attirée de ce côté. Toutefois, en relevant les faits signalés, nous trouvons une prédominance chez deux catégories de malades : d’une part les femmes hystériques ; d’autre part, les individus déjà atteints d’urticaire vraie. Les faits de MM. Chambard et Lwoff, les cas qui nous a été donnés à nous-mêmes d’observer se rapportent à des sujets présentant des tares des névropathiques manifestes. Zunker (9) rapporte l’histoire d’un saturnin qui présenta le phénomène en question d’une façon passagère, alors seulement qu’il était sous l’influence du poison. Toutefois, il serait prématuré de rien conclure à cet égard, avant que la réaction est été recherchée sur les individus absolument sains ; d’autant plus que Michelson appelé la déterminer chez trois adultes vigoureux, n’ayant aucune tare névropathique. Un des faits d’Axenfeld (10) se rapporte aussi à un sujet en pleine santé. Il n’est pas rare d’observer chez les femmes, au niveau de la taille, chez quelques individus à la ceinture, aux endroits où les vêtements exercent une pression énergique, un boursoufflement diffus de la peau, avec rougeur et saillies œdémateuses, ressemblant au premier abord à des vergetures, des cicatrices. Il s’agit là d’un fait du même ordre ; et c’est ainsi que nous avons découvert l’excitabilité remarquable de la peau chez le malade dont nous donnons ici la reproduction.
Toutes les régions du tégument ne sont pas favorables à l’expérience. Il faut choisir, dit Gull, une région riche en fibres lisses. C’est sur la peau du thorax qu’on réussit le mieux à produire le phénomène, principalement dans la région dorsale. Sur les membres, l’excitabilité va en décroissant de la racine vers l’extrémité. Nous avons également pu le reproduire sur la face, sur la peau du front ; M. Chambard sur la muqueuse buccale (11). Ajoutons que les excitations mécaniques sont les plus efficaces.
Pour la description du phénomène de la dermographie, nous ne saurions mieux faire que de nous rapprocher de celle qu’en ont [p. 285] données Gull et Zunker. Voici les phases détaillées par lesquelles il passe successivement :
Aussitôt le passage de l’instrument (tranchant d’un coupe-papier par exemple) pâleur passagère suivi du phénomène de la chair de poule.
30 secondes : rougeur faible sur la ligne tracée, entouré de deux zones pâle.
Une minute 1/2 : troisième zone rouge périphérique, s’étendant au loin.
Fin de la 2e minute : apparitions sur la ligne centrale d’élevures blanches d’abord isolées et marquées au niveau des follicules pileux.
3e minute : extension de la saisie blanche, qui envahit la première zone pâe et arrive aux limites de la zone rouge périphérique.
4e ou 5e minute : l’élevure ortiée est complète ; les saillies folliculaires isolées confondues entre elles, disparues dans l’infiltration générale.
Seulement sur le bord, on aperçoit quelques bulbes pileux proéminents, donnant à cette partie un aspect grenu, chagriné.
15 à 20 minutes : commencement du déclin. L’aréole rouge se rétrécit, l’élevures s’affaisse et diminue de largeur.
Quelques heures : plus rien.
Ce tableau qui est à peu près exactement celui tracé par Zunker à propos d’un malade, de s’appliquer à la généralité des cas avec quelques modifications. C’est ainsi que l’aspect de la chair de poule est plus ou moins marquée ; la saisie de l’élevure varie de 1 à 2 mm et davantage ; la zone rouge périphérique s’étend de 2 à 5 cm. La persistance du phénomène peut-être de 12 heures, comme dans le cas de M. Dujardin-Beaumetz (12). Il existe du reste de grandes variations individuelles ; et l’examen de nos balades nous a montré que toutes les transitions pouvaient s’observer dans les degrés que présente le phénomène. D’une façon générale, il est d’autant plus fort qu’il ait été plus long à se produire.
Comme conséquence de la congestion cutanée qui accompagne l’œdème, il faut noter une élévation de température pour vous en dépasser 2°. – Suivant Gull, il se produirait, concurremment à la contraction des fibres lisses du derme et sous l’influence de cette contraction, une modification dans les dimensions du tégument, un raccourcissement que l’on peut vérifier en prenant la distance entre deux points marqués sur la peau. Le fait avancer par Gull n’est pas si facile à vérifier qu’il en [p. 286] a l’air si l’on considère que, dans la région sternale par exemple, une distance verticale longue de 8 cm peut augmenter de 1 cm quand on porte le coup dans l’extension ; et qu’il en est de même dans le sens transversal si l’on porte les épaules en arrière Il faut donc que s’assurer d’une immobilité absolue pendant toute la durée de l’expérience. Or en choisissant pour faire cette recherche la peau qui recouvre la crête du tibia, nous avons évité cette cause d’erreur. Mais dans ces conditions, nous n’avons observé aucun changement de dimension dans la région excitée. Entre : distance de 8 cm, huit lignes transversales ont été tracées. Mais à aucun moment du phénomène, étant aucun sens, il ne nous a été donné d’observer le retrait du tégument. D’ailleurs la même expérience pratiquée dans la région sternale, le malade ayant gardé l’immobilité absolue, les bras croisés, nous a donné le même résultat négatif.
Notons encore au niveau de l’éruption provoquée, le phénomène du pouls capillaire déjà observé par M. Hirtz (13) sur les papules ortiées.
Nous en aurons fini avec cette description, quand nous avons ajouté que les phénomènes subjectifs, dans tous les cas, sont nulles au niveau de l’éruption. Zunker note seulement une légère sensation de chaleur chez un de ces malades ; mais il y a loin delà au prurit intense, caractéristique de l’urticaire véritable.
Les phénomènes consécutifs son nul : la congestion œdémateuse disparaît spontanément au bout de 1 à 12 heures. Nous signalerons cependant, avec toutes réserves, un fait de pigmentation consécutive. Six petites lignes transversales avaient été tracées voisines l’une de l’autre, dans la région deltoïdienne droite ; l’excitation n’avait pas été plus violente que d’habitude, et aucune ecchymose n’avait été remarquée. Cependant, huit jours plus tard, apparaissait une légère pigmentation brune, qui actuellement, au bout de trois semaines, est manifeste sur les lignes précédentes. Mais il faut avouer que c’est la seule fois que pareille chose s’est produite, nos tentatives ont échoué pour obtenir une pigmentation dans la région symétrique, du côté gauche.
Dans le but d’étudier les circonstances qui font varier le phénomène, on a fait un certain nombre d’expériences :
1° On a varié les excitants. Nous n’avons envisagé jusqu’ici que les excitants mécaniques par pression. Les piqûres d’épingle légère s’entoure d’une petite macule rouge, qui devient au bout de quelques minutes une papule [p. 287] légèrement saillante, de la dimension d’une lentille. Un jet d’eau compact ou divisé lancé avec force (l’excitation hydro-mécanique) a pu produire l’œdème congestif sur le malade de M. Chambard (14). Le même malade, dont l’excitabilité était remarquable, a présenté, sous l’influence d’une simple aspersion d’eau froide, une roséole, bientôt suivi de l’apparition de papules d’urticaire typiques.
Une malade de M. Blachez (15) était particulièrement sensible au froid. L’effigie d’une pièce de monnaie se reproduisait sur sa peau avec un relief d’une netteté remarquable.
Les excitations électriques semblent bien intérieures sous ce rapport aux excitations mécaniques. Ainsi la faradisation avec le pinceau n’a fait apparaître, sur le malade photographié ici qu’une faible rougeur (au zéro de l’appareil Dubois-Raymond). Il est vrai que cette rougeur une fois effacée, nous avons pu voir persister quelques petites papules rouges, semblables à des éléments de varicelle et répondant au point de contact des fils du pinceau. Les excitations galvaniques semblent plus actives. Au bout d’une minute environ, avec 24 éléments Gaiffe, nous avons vu se produire aux points de contact du pinceau de petites papules rouges, sanglantes, qui sont devenues œdémateuses, simulant ainsi s’y méprendre un groupe d’éléments de zona. Les résultats se sont montrés identiques aux deux pôles avec le pinceau, si ce n’est que, au pôle positif, l’éruption s’est montrée plutôt et a été plus forte. Notons encore l’opposition au pôle négatif d’une belle roséole, étendu à tout le dos, au moment de l’application du pinceau, phénomène qui n’a pas du reste été reproduit dans la même séance. Au niveau du tampon, rien d’appréciable de ces produits.
Ces résultats diffèrent de ceux obtenus par M. Chambard auquel la galvanisation a donné moi que la faradisation. Mais il faut peut-être, en pareille matière, faire la part de l’excitabilité spéciale du malade. En tout cas, la différence observée dans les deux modes de réaction, montre bien qu’il ne s’agit pas d’excitation mécanique pure et simple par les fils du pinceau.
2° On a cherché à entraver localement la production du phénomène.
Gull et Zunker ont signalé l’action des anesthésiques. L’application de chloroforme, des terres, empêchent la formation des élevures ortiées ; mais il faut que l’anesthésie locale soit complète. Après avoir répété ces expériences, voici les conclusions auxquelles nous somment arrivées. Si l’anesthésie est incomplète (application de chloroforme, de glace [p. 288] pendant 1 ou 2 minutes) une ligne tracée, partie sur la peau intacte, partie sur la région anesthésiée, devient saillante d’abord dans la première portion seulement – puis la seconde s’élève à son tour avec un retard variant de 1 à 3 minutes. Finalement le phénomène acquit une intensité égale sur toute la longueur de la ligne. Une fois la saisie bien développée, les applications de glace ou de chloroforme de la modifie plus. Si maintenant on pulvérise de l’éther jusqu’à l’insensibilité complète, il est impossible en effet de produire le relief ou même simplement la rougeur avec les excitations les plus fortes. Mais nous avons pu constater, en examinant la région au bout de deux heures, l’existence de reliefs bien développés (pl. XLIII). Il n’y a donc pas d’obstacle, mais simplement en retard, période latente d’autant plus longue que l’anesthésie a été peu parfaite.
Le phénomène semble d’ailleurs s’épuiser lui-même par une simple répétition. Aux endroits précédemment irrités, on constate un retard dans l’apparition des saisies – auteur moindre – rougeur moins étendue. Cet épuisement s’est prolongé jusqu’au lendemain dans une région fortement irritée à plusieurs reprises, et nous avons noté que la ligne en relief produit alors était interrompue par places, les saillies périfolliculaire restant isolées.
Il est difficile d’établir l’évolution de ce phénomène singulier chez les individus qui en sont porteurs, en raison de l’absence d’observation longtemps poursuivie. La malade de M. Dujardin-Beaumetz, tenue en observation pendant six mois, n’a pas présenté de modification appréciable. De notre côté, dans l’espace de 1 à 2 mois, nous n’avons pas noté sur nos malades de changement important et durable. Il s’agit vraisemblablement là d’une manière d’être de la peau, dans un état permanent. Seul Zunker (14) a noté sa disparition chez le saturnin dont nous avons parlé.
Il serait non moins intéressant d’étudier les variations passagères du phénomène. Chez deux de nos malades, l’un présentant des poussées d’urticaire (15), l’autre ayant une éruption eczémateuse, nous avons noté que le phénomène était plus intense au moment des recrudescences de l’infection cutanée. Mais c’est surtout sous l’influence des accès épileptiques que nous avons pu constater dans quelques cas des modifications intéressantes (16). [p. 289]
Pendant la stupeur nous n’avons même pas pu produire la simple raie rouge érythémateuse que l’on obtient sur tout le monde. Après l’accès, nous avons pu examiner trois des malades qui la présentaient à un fort degré en temps ordinaire : chez l’un d’eux (4 heures après) il ne s’est produit une simple rougeur assez étendue saillie ; – chez les deux autres, saillie très faible. Enfin chez un 4° malade qui présentait une réaction cutanée d’intensité moyenne, après une série de cinq accès, les plus fortes excitations n’ont produit qu’une faible rougeur ; et c’est seulement le lendemain que le phénomène commençait à reparaître très léger. L’accès épilepsie semble donc épuiser l’excitabilité cutanée.
Reste à connaître la nature du phénomène qui nous occupe ; c’est à n’en pas douter un phénomène d’ordre musculaire, portant sur les vaisseaux et sur les follicules pileux, et passant par les deux phases successives de contraction et de paralysie. Mais quelle est sa parenté avec l’urticaire vraie ? La coexistence de fréquentes chez le même individu, l’identité des phénomènes objectifs prouvent en faveur de celle-ci. Mais les arguments opposés ne font pas défaut. D’abord la coexistence est loin d’être constante. En outre le prurit fait défaut dans cette urticaire artificielle. Enfin les substances qui modifient l’urticaire véritable reste ici sans effet :
1° L’ingestion des aliments qui produisent l’éruption ortiée a amené des poussées chez les sujets atteints, qui est vrai ; mais est resté sans effet chez ceux où l’on constatait simplement la dermographie, et ne semble pas avoir exagéré le phénomène.
2° En second lieu, le traitement de l’urticaire (atropine, ergotine) tenté par Dujardin-Beaumetz et que nous avons essayé également sur nos sujets, n’a jamais réussi à modifier le phénomène de façon appréciable.
Ch. Féré H. Lamy
Médecin de Bicêtre Interne des hôpitaux
NOTES
(1) W. Gull, On factilious urticaria (Guy’s Hosp. Rep., 1859.)
(2) Zunker, Ueber swei Fälle von vasomotorischen Neurosen (Berlin. Klin. Wachenschrift, 1875).
(3) Dujardin-Beaumetz, Note sur les troubles vaso-moteurs de la peau observés chez une hystérique (Union médicale, décembre 1879).
(4) } Bourneville et Regnard, Iconographie de la Salpêtrière (1879-1881),
(5) Axenfeld. Traité des névroses. Paris, 1883.
(6) Chambard, Dermataneurose stéréographique chez un individu alcoolique (Archives de neurologie, janvier 1889).
(8) Annales médico-psychologiques, numéro de novembre 1888.
(8) Renaut, Article Dermatose, du Dict. encyclopédique..
(9) Zunker, loc. Cit., p. 505.
(10) Axenfeld, loc. Cit., p. 1032.
(11) Chambard, loc. Cit., p. 14.
(12) Dujardin-Beaum, loc. Cit., p. 919.
(13) Hirtz. Soc. Médicale des Hôpitaux, séance du 25 janvier 1889.
(14) Zunker, loc. Cit., p.505.
(15) Un même malade dans la région dorsale et photographié ici, présente sur les jambes quelques pustules d’ecthyma disséminées. Bien qu’il s’agisse là d’ecthyma simple, une d’entre elles siégeant à la face antérieure de la jambe gauche a déjà provoqué deux hémorragies abondantes en desserrant une veine superficielle.
(16) Ch. Féré, Les épilepsies et les épileptiques, p. 219.
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