L. Lefranc. Deux cas de brûlures hyperphysiques. Extrait de la revue « Le Monde Psychique », (Paris), 2e année, n°15, mai 1912, pp. 449-456.

L. Lefranc. Deux cas de brûlures hyperphysiques. Extrait de la revue « Le Monde Psychique », (Paris), 2e année, n°15, mai 1912, pp. 449-456.

L. Lefranc. Fondateur avec Charles Lancelin de l’institut de Recherches Psychiques en 1911. Spécialiste des expériences spirites et collaborateur régulier du colonel De Rochas. Quelques publications :
— Organisation définitive d’un “Bureau Julia” à “l’Institut de Recherches Psychiques de France” », Le Monde Psychique, Organe mensuel l’Institut de Recherches Psychiques de France”pour l’étude expérimentale des phénomènes spirites, février 1912, n°12, p. 357.
—  Organisation définitive d’un “Bureau Julia” à l’Institut de Recherches Psychiques de France, ibid., pp. 357-358.

Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original.
 – Par commodité nous avons renvoyé les notes originales de bas de page en fin d’article. – Les  images sont celles de l’article original. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection personnelle sous © histoiredelafolie.fr

[p. 449]

Deux cas de brûlures hyperphysiques

J’ai publié en 1911 dans cette même revue, un cas de brûlure causée par l’action d’un fantôme de vivant sur le fantôme d’un sujet, Mme Lambert. La cause de cette brûlure ayant été nettement établie et l’hypothèse de l’auto-suggestion définitivement écartée, seule l’hypothèse du derme-graphisme aurait pu être invoquée : j’en profite pour la réfuter en citant deux nouveaux cas de brûlures hyperphysiques.

La 1re observation a été décrite dans la « Sorcellerie des Campagnes » par M. Lancelin, auquel j’emprunte le détail des observations :

« Dans l’ouvrage précité de H. Durville, un passage m’avait particulièrement frappé ; celui où il est question d’un « souffle froid » qui accompagne toujours le dégagement d’un fantôme du vivant. Je lui en avais parlé à plusieurs reprises, mais il n’avait pu me donner à cet égard aucune explication. Or, selon moi, ce « souffle froid » devait être de même nature que celui que je ressens toutes les fois qu’en ma présence s’accomplit une opération hyperphysique [p. 450] (apport, matérialisation, etc.) et qui est causé, nous disent les Entités de l’Au-delà que nous interrogeons à ce propos, par le mélange des fluides des assistants, opéré par elles en vue de l’opération projetée.

« Pour arriver à une certitude à cet égard, il fut convenu avec M. H. Durville, que j’assisterais à une séance d’expérimentation chez lui, à titre de simple témoin ; je devais donc y demeurer muet, immobile et passif, ne m’occupant que de mes sensations personnelles, et sans me mêler en quoi que ce soit de la marche de ses expériences.

« 8 Mars 1910. —La séance commença à 9 heures ; au moment où, l’obscurité faite, se produisit le dégagement magnétique du fantôme de Mme Lambert, je ressentis, sur les mains seulement, un très léger courant d’air, alors que, dans les expériences ordinaires de métapsychisme, ce courant d’air froid affecte non seulement les mains, mais encore les bras, souvent la figure et parfois le thorax. D’autre part, ce courant d’air se produisait dans le même sens, de gauche à droite, et paraissait de même nature que le « souffle froid » des séances avec sujets médiumniques. Chaque fois que pour les besoins de l’expérience, on faisait de la lumière une sorte de déclanchement nerveux se produisait en moi m’indiquant que le fantôme se dissolvait dans la lumière blanche. Chaque fois, au contraire, que l’on reformait l’obscurité, je sentais de nouveau passer un souffle léger et j’en augurais que le fantôme recommençait à se condenser (1).

« Puis, H. Durville procède à ses expériences personnelles ; le fantôme extériorisé de Mme Lambert s’asseoit dans un fauteuil préparé pour lui à la gauche du sujet, et qui, dans ce mouvement, est repoussé de quelques centimètres ; une table que l’on place devant lui, est également repoussée.

« Vers la fin de la séance, M. Durville m’offrit de toucher le fantôme. Je m’approchai donc. J’avançai la main avec précaution vers l’endroit où se trouvait le fantôme extériorisé, et je sentis à l’extrémité de mes doigts comme un froid assez intense, quelque chose d’indéfinissable, donnant la sensation d’un très léger duvet ou d’une toile d’araignée à peine tangible, mais glacée. [p. 451]

« Je demandai à pénétrer dans le fantôme jusqu’à la limite de la douleur pour le sujet. Celui-ci, légèrement ramené vers l’éveil, me prit la main et me l’enfonça dans son fantôme, en tremblant et avec une lente précaution : j’eus la sensation de pénétrer jusqu’à la base des doigts dans une glacière. Le sujet me retira brusquement la main.

« Je regagnais ma place lorsque se produisit un fait inattendu et véritablement étrange.

« Le sujet eut une exclamation : « — M. Lancelin a amené quelqu’un !

«  — Vous avez quelqu’un avec vous ? me demanda M. Durville, intrigué.

« Sur le moment, je l’avoue, j’étais aussi intrigué que lui, ne comprenant pas ce que voulait dire le sujet. Soudain un éclair se lit dans mon cerveau : je pensais à « Sage » (2), que j’avais oublié, et, saisissant la main du sujet, j’interrogeai :

« — Comment est-ce quelqu’un que vous voyez ?

« — Il est brillant. Il vous entoure. Il vous enveloppe.

« — Puis avec un cri :

« — Ah ! mon fantôme vient d’être frappé à l’épaule.

« — Ne pouvez-vous pas décrire plus amplement ce que vous voyez ? insistai-je.

« Mais le sujet est en proie à une exaltation fébrile :

« Non, laissez-moi !… je ne vois plus rien… Ne m’interrogez plus : je ne répondrai pas.

« Devant son état d’énervement, H. Durville le réveille, pendant que j’explique ce qui a pu se passer : ce doit être « Sage » qui, amené par moi pour contrôler mes sensations, s’est révélé — Mais je ne sais encore qu’en penser : je ne puis rien affirmer.

« Revenu à soi, le sujet accuse une certaine douleur dans l’épaule gauche, sans qu’on y attache une grande importance.

12 Mars. Je reçus de M. Durville, l’assez grave communication qui suit :

« Je viens de recevoir le sujet de mardi (Madame Lambert) dans le plus lamentable des états. Vous vous rappelez qu’il s’est plaint, à un moment donné, de-recevoir un choc sur l’épaule gauche, choc, a-l-il dit, qui lui venait du fantôme qui vous accompagnait. [p. 452]
« Il n’a pas dormi-depuis ; il a la fièvre et porte sur l’épaule, excessivement douloureuse, une vaste ecchymose qui ressemble à une plaie formée par l’application d’un caustique. La plaie est sèche, mais, dit ce sujet, elle a rendu .une quantité de liquide rousseâtre comme la plaie d’un vésicatoire. «
Tâchez donc d’avoir une explication de votre guide ».

« Voici la réponse de « Sage » obtenue par l’intermédiaire d’un médium Mme Arnoult.

«  Ainsi, voici une réponse que lu liras à Lancelin : En passant hier chez Lancelin, j’ai vu son inquiétude, cl j’ai été tout étonné. Aussitôt, je suis allé chez le sujet (Mme Lambert) mais impossible de rien voir. J’ai fait la remarque, l’autre mardi que si Lancelin ne m’avait pas aussi fortement désiré, je n’aurais pas pu approcher des expériences. Eh bien ! j’ai voulu voir seul ; il m’a été impossible de rien voir ; c’était comme si on m’avait empêché, d’entrer. Comme je voudrais savoir de quoi il retourne (sic), je prie Lancelin de vouloir bien m’appeler fortement quand il verra ce sujet ; je lui promets de ne pas me montrer et de rester neutre (ce que j’ai fait l’autre mardi) mais, quoique m’étant montré, je ne crois pas que ce soit moi qui aie motivé l’accident.

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Voici ce que j’écrivis à M. Durville le lendemain de la séance :

Paris, 14-3-1910.

« Cher Maître,

« Nous avons reçu la visite de Mme Lambert, le lendemain de vos expériences, c’est-à-dire le 9. Elle s’est plainte à nous du coup qu’elle avait reçu la veille, dans la séance, du guide de M. Lancelin ; nous avons calmé sa douleur ; le mieux s’est affirmé jusqu’au lendemain. Nous n’avons pas alors examiné Mme Lambert ; néanmoins nous avons observé une tache de sérosité sur l’épaule gauche de son corsage.

« Mme Lambert nous ayant fait part de votre désir de photographier la plaie dont elle était porteur, puisque plaie il y avait, nous vous faisons parvenir une épreuve (voir fig. 1).

« A ce jour nous avons constaté une plaie superficielle au niveau du faisceau moyen du deltoïde du bras gauche, plaie circulaire mesurant cinq centimètres de diamètre, accompagnée d’une croûtelle, présentant un aspect boursouflé, crevassé, et paraissant avoir laissé sourdre une sérosité.

« Circonscrivant cette plaie sur un diamètre de huit centimètres, la peau est le siège d’une desquamation, ainsi que d’une rougeur diffuse analogue à une brûlure du premier degré, sans phlyctènes, s’étendant sur un diamètre moyen de onze centimètres.

« Une portion du faisceau postérieur du deltoïde présente un hérissement de la peau, hérissement analogue à la chair de poule, provoqué à notre avis par la contraction du muscle peaucier. [p. 453]

« D’autre part, Mme Lambert se plaint d’éprouver une gêne considérable pour élever le bras gauche jusqu’à l’horizontale, ainsi qu’une douleur très vive au niveau de la plaie.

« Telles sont nos constatations.

« Recevez, cher Maître, etc… »

Au cours d’une conférence faite en juin 1910 à la Société Magnétique de France, le caractère hyperphysique de la lésion répercutée sur l’épaule de Mme Lambert a été vivement contesté par M. Gaston Durville, interne en médecine.

« La lésion, dit-il, se serait produite à 11 heures du soir et ce n’est que le lendemain qu’a été examinée l’épaule du sujet. Il y a donc là un intervalle d’une nuit entière pendant lequel le sujet a été soustrait à tout contrôle. Durant cet intervalle, n’a-l-il pu se brûler à l’épaule, à l’aide d’un caustique ou d’autre façon, consciemment ou inconsciemment, volontairement ou accidentellement ? Pour écarter toute ombre de doute, le sujet aurait dû être examiné dès après la séance, et avant d’avoir échappé à la vue des assistants. »

Abordons maintenant la discussion du caractère de la blessure : — 1° Si l’on avait examiné le sujet immédiatement après la séance, il est fort probable que l’on n’aurait constaté que très peu de chose, à peine une simple rougeur. Cette blessure ou brûlure a suivi une évolution rapide, mais pas assez rapide pour être constatée immédiatement avec tous les aspects du 2me 10 jour. — 2° Cette brûlure a mis le sujet en état d’incapacité de travail pendant quinze jours environ ; le sujet n’a pu se blesser volontairement ou même involontairement, étant seul pour subvenir à ses besoins. —3° S’est-il blessé accidentellement en appliquant un produit quelconque afin de calmer la douleur de cette brûlure ? Cette hypothèse n’est pas acceptable ; le sujet sait parfaitement que ce genre de lésion ne se guérit qu’à l’aide du magnétisme, et ses affirmations sur ces trois questions doivent être prises en considération.

Comment a pu se produire cette blessure ? H. Durville n’a pas touché le fantôme, ni le corps du sujet pendant l’expérience, par conséquent, pas de choc en retour ; et cependant le sujet a accusé nettement un choc, qu’il attribue à un être hyperphysique ! Par conséquent il y a bien eu choc ; l’hypothèse de l’auto-suggestion ne peut être soutenue, car le sujet réveillé a perdu tout souvenir des faits passés pendant l’expérience, mais il lui a persisté une douleur [p. 454] à l’épaule gauche qu’il ne savait à quoi attribuer. On pourrait aussi invoquer l’hypothèse du dermographisme dont je vais donner l’explication, mais celui-ci n’existait pas à l’époque de l’accident, en somme eût-il existé, il n’aurait été que l’effet du choc reçu sur l’épaule du fantôme.

Le dermographisme ne naît pas d’une suggestion, ni surtout d’une auto-suggestion. Le dermographisme ne se développe pas spontanément, c’est-à-dire sans provocation directe, sans contact. La disposition de la peau à entrer en turgescence à la moindre provocation est permanente et généralisée ; c’est dans le dos, sur la poitrine, et sur l’abdomen, que le phénomène est ordinairement le plus prononcé ; pourtant dans certains cas, il peut se montrer partout, même sur la muqueuse palatine, à condition, nous le répétons d’être mis en valeur par un contact quelconque (pointe émoussée, violente imposition des mains, marque faite avec l’extrémité du doigt ) Le jet d’une douche peut être suivi des mômes effets.

Souvent c’est par hasard qu’on le remarque pour la première fois chez un sujet donné. Ou bien, c’est le médecin qui le révèle au malade étonné et d’autant plus surpris qu’il ne se sentait nullement souffrant. Dans certains cas, il y a de la chaleur, des sensations de cuisson, des fourmillements, et même des démangeaisons assez vives, au niveau des points surexcités : de là le nom d’urticaire factice par opposition à l’urticaire spontanée ; mais dans le plus grand nombre des cas, il n’y a aucune espèce de sensations ni d’autres phénomènes nerveux subjectifs.

On rencontre le dermographisme dans les circonstances les plus différentes, non seulement dans les maladies les plus dissemblables, mais même dans l’état de santé, dans toutes les classes de la société, dans tous les milieux, chez les hommes non moins que chez les femmes, à presque tous les âges. Chez les chevaux, le dermographisme est fréquent.

II résulte que toutes les conditions au milieu desquelles se produisent les phénomènes dermographiques sont variables.

Deux seules restent constantes : ce sont l’arthritisme et le nervosisme. L’association de ces deux tempéraments a déjà été signalée pour un grand nombre d’autres états morbides, surtout poulies affections nerveuses, par Charcot, par exemple.

Le nervosisme ? Chacun comprend que c’est la susceptibilité, [p. 455} poussée à l’extrême, du système nerveux, son défaut de résistance aux causes d’excitation communes et banales en vertu desquelles souffrent certaines organisations, là où la généralité ne ressent rien.

Mais qu’est-ce que l’athritisme ? On croyait jadis à l’une de ces fatalités dont la nature et l’hérédité gratifiaient l’organisme à la naissance sans qu’il pût jamais s’en débarrasser, et en conséquence de laquelle les humeurs se chargeaient d’anormales et d’excessives quantités d’acides, tournaient à l’aigre, selon une expression familière plus piquante qu’exacte. Or, d’après les travaux de Bouchard, on sait qu’il s’agit là d’une simple disposition en vertu de laquelle des fermentations s’établissent de préférence dans les tissus et notamment dans ceux des organes gastro-intestinaux et qu’il en résulte des accumulations d’acides bientôt absorbés avec les autres produits d’assimilation normale, passant dans le sang et agissant plus ou moins avec le système nerveux.

Cette théorie semble encore être confirmée par les expériences de MM. Gley et Charrin qui, sous l’impulsion de M. Bouchard, ont injecté à des animaux des liquides toxiques retirés de produits microbiens. Or, suivant les doses, il en est résulté des poussées fluxionnaires, des congestions, des érythèmes, des exsudations séreuses, des œdèmes localisés et interstitiels, par conséquent des gonflements de la peau, en tout analogues à ce que l’on observe dans l’urticaire et dans le dermographisme.

Ces faits sont très importants parce qu’ils démontrent que tous ces troubles vaso-moteurs, depuis la simple rougeur jusqu’à l’hémorrhagie spontanée, sont des phénomènes de même ordre, de même nature.

On ne s’étonnera donc pas de rencontrer le phénomène de dermographisme chez des sujets nerveux, hystériques, neurasthéniques ou hypnotisables. Cette sensibilité exquise et morbide du système nerveux, c’est le terrain propice ; quant à la graine, à la cause, à l’agent toxique, il est fourni par les auto-intoxications auxquelles sont en proie certains sujets. Si cette intoxication existe à un degré atténué, ses conséquences sur la peau peuvent rester latentes jusqu’au moment où une émotion, une secousse physique ou morale, un accident ou une frayeur, viennent mettre brusquement en relief et en valeur le dermographisme.

J’ai tenu à décrire le dermographisme comme ayant beaucoup [p. 456] d’analogie avec la blessure du cas qui nous occupe, néanmoins l’hypothèse dermographique est à rejeter car le lendemain même de l’accident, je me suis assuré que le sujet ne présentait pas ce phénomène.

Il est donc probable que la blessure du sujet est bien une blessure hyperphysique d’ailleurs celui-ci a eu une pareille aventure en 1897. Une nuit, il s’est senti tiré hors du lit, traîné à terre malgré sa résistance jusqu’à la cheminée où brûlait un feu de coke ; son avant-bras droit porta sur la grille ce qui lui fit deux ou trois longues brûlures qui furent constatées le lendemain par M. A. de Rochas.

Le sujet s’est-il brûlé volontairement ou involontairement ? Il est affirmatif dans la cause « il n’a rien vu, mais il a senti qu’on le tirait avec force de son lit » ; l’auto-suggestion ne peut être invoquée ; l’hypothèse reste donc en faveur d’une force hyperphysique intelligente.

Le deuxième cas de blessure hyperphysique a été constaté au cours d’une séance d’écriture automatique ; le sujet, Mme Tessier, s’est sentie touchée au visage, par quelque chose d’invisible ; il y eut crise de nerfs, assez longue à calmer, et le lendemain je constatai des plaies au visage ayant le même aspect, laissant échapper la même sérosité, que les plaies de Mme Lambert ; et à quelques jours d’intervalle, il en apparut d’autres à diverses places du visage (Fig. 2). Là, encore chez ce sujet, aucun phénomène dermographique ; il n’a pas été quitté d’une minute depuis son accident ; et il est possible que l’auto-suggestion agisse de la sorte en provoquant ce genre de brûlures ? Qu’on me montre deux cas semblables produits par auto-suggestion, et encore on devra admettre des effets pareils avec des causes différentes.

Notes

(1) Ce fantôme vivant, est invisible pour les individus normaux ; seule la plaque photographique l’enregistre, et seuls l’aperçoivent les assistants développés au point de vue de la voyance ; quant à sa tangibililé, elle est des plus délicates à définir.

(2) Une Entité de l’Au-delà que l’auteur avait amenée avec lui pour suivre l’expérience.

 

 

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