J. Pérez. Anticipations des principes de la psycho-analyse dans l’œuvre d’un poète français. Article paru dans le « Journal de psychologie normale et pathologiques », (Paris), 1922, pp. 921-927.
Un autre article du même auteur, zélé défenseur de la méthode psychanalytique; : La Psycho-analyse et une nouvelle critique de formes supérieures de l’idéalité. Article parut dans la « Revue Philosophique de la France et de l’Etranger», (Paris), 42e année, tome LXXXIV, juillet à décembre 1917, pp. 265-282. [en ligne sur notre site]
Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Par commodité nous avons renvoyé les notes originales de bas de page en fin d’article. – Les images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection personnelle sous © histoiredelafolie.fr
[p. 921]
ANTICIPATIONS
DES PRINCIPES DE LA PSYCHO-ANALYSE
DANS L’OEUVRE D’UN POÈTE FRANÇAIS
Pour l’un des écrivains (1) qui ont étendu l’application de la méthode de Freud à la critique des œuvres artistiques, peu s’en faut que l’histoire d’Hamlet ne soit comme la réplique moderne de la fable d’Œdipe. A cela près que dans le drame Shakespearien le fatum psychologique des caractères et des situations a pris la place du destin antique, la donnée fondamentale se rattache en effet à cette variété type du « rêve de la race » classée sous la rubrique de complexe Œdipien. Certes une méthode de critique artistique qui retrouve dans le rêve et partant dans la fiction poétique l’inconscient de la préhistoire phylogénique et individuelle, a le mérite de nous faire voir dans le folklore le point d’émergence des créations les plus personnelles du génie. Mais dans le cas particulier, le côté hypothétique de cette exégèse conduite suivant les principes de la psychanalyse réside dans le fait d’attribuer au chef-d’œuvre de Shakespeare une valeur quasi-autobiographique, comme si le poète avait mis en œuvre dans l’histoire d’Hamlet l’expression symbolique d’une péripétie personnelle de sentiments offrant quelque analogie avec la destinée de son héros et relevant elle aussi par là même du complexe Œdipien. — Que la validité d’une telle interprétation soit dans le domaine des choses possibles, une preuve nous en est fournie par un autre Hamlet, « la race n’en est pas perdue, qu’on se le dise ! » (2) — œuvre d’un poète contemporain, écrite bien avant qu’il ne fût question de la méthode psychanalytique, et dans laquelle le caractère autobiographique, à peine déguisé sous la fiction du symbole, ne laisse pas de place [p. 922] au doute. Il s’agit de la première pièce du volume des Moralités légendaires de Jules Laforgue, ayant pour titre : Hamlet ou les suites de la piété filiale, avec cette épigraphe « c’est plus fort que moi ». L’identification voulue de l’auteur avec son héros résulte d’une façon certaine du portrait physique détaillé qu’il nous trace du prince de Danemark et qui est celui même du poète, criant de ressemblance. A vrai dire le sentiment anti-paternel ne se fait jour d’une manière explicite et directe que dans le titre et l’épigraphe. Le poète détourne contre lui-même, contre sa destinée, contre son impuissance à agir, contre l’art et l’amour ses ironies et ses sarcasmes. Comme pour se railler plus cruellement dans la personne de son héros, ce qu’il retient de la fable d’Hamlet c’est surtout le thème de la folie réelle ou simulée. Divers traits de l’inspiration de Laforgue, verve poétique qui se joue dans l’anachronisme, le calembour et les concetti du sentiment, humorisme ingénu, ironie et sarcasme sans méchanceté, ne sont pas d’ailleurs sans quelque affinité naturelle avec la manière d’être du plus fantasque des personnages Shakespeariens.
Dans le drame anglais, selon la psychanalyse, le père mort et non vengé et l’usurpateur adultère, objets de sentiments opposés, symboliseraient le dualisme persistant dans la relation familiale entre le sentiment dû selon les normes morales et la rivalité égoïste et sexuelle de fils à père s’accompagnant du souhait de mort. Le Hamlet de Laforgue est un faible et un artiste de la lignée de ces personnages Shakespeariens plus fantaisistes que tragiques. Par suite ni l’idée de vengeance, ni par conséquent la haine contre le parâtre époux incestueux de sa belle-sœur ne tiennent beaucoup de place dans l’œuvre du poète français. Il semblerait même au contraire que la rancœur du fils s’exerce principalement contre le vrai père, roi « faunesque », progéniteur de multiples bâtards. On pourrait en conclure que le complexe Œdipien est ici beaucoup moins accentué ou même inexistant ; en tout cas il n’a pas atteint ce degré de développement qui se traduit par la personnification concrète des tendances en conflit. Comme pouvait déjà le faire prévoir le titre du morceau, la révolte incoercible cependant du fils, fils pieux, « cœur d’enfant bien élevé », est une révolte avortée. Le sentiment anti-paternel reste à l’état théorique. Dans le cas particulier il s’agit d’un sentiment que le sujet devrait peut-être raisonnablement éprouver, mais auquel il se refuse. Le Hamlet des Moralités légendaires n’a pas à être vindicatif. Si l’impulsion vindicative d’après l’interprétation psychanalytique de la fable traditionnelle n’est que le déguisement symbolique d’une rivalité jalouse qui relève d’une amoralité initiale des tendances communes à l’enfant et au primitif. Il y a d’ailleurs dans la philosophie et la poésie de Laforgue un courant de renoncement boudhique qui le rend réfractaire au pansexualisme qui est à la base du complexe Œdipien.
Il reste que le poète a entrevu par avance la portée que devait prendre pour la critique psychanalytique une donnée telle que la fable d’Hamlet. [p. 923] Cette anticipation ressort du fait devoir approprié cette donnée-à l’expression symbolique de son drame intérieur. Ce que dit Freud au sujet des actes manques « que l’on peut mieux se renseigner sur ce sujet en lisant. » les poètes qu’en étudiant les travaux des philologues et. des psychiatres » (3), se vérifie ici pour un autre domaine plus important de la psychanalyse. Il parle déjà comme un disciple de Freud celui qui écrit : « Comment s ‘est passée notre puberté, corps et imagination, tout est là. Il y a une heure de nos quinze ans d’où dépendra notre caractère, notre mirage personnel de l’univers » (4). Le psychanalyste ferait entrer en plus en ligne de compte les impressions lointaines de l’enfance, tout un domaine de l’oublié. Adjonction à laquelle J. Laforgue eût pleinement adhéré et son œuvre tout entière en témoigne.
Bernigeroth – Œdipe et le sphinx (Frontispice de l’Œdipe de Voltaire, éd. 1747).
Sur la motivation de cette crise du sentiment filial dont le poète se libère en écrivant son Hamlet, en application pourrait-on dire du rôle défensif du rêve, interrogeons ses écrits. L’image s’évoque d’une enfance trop stoïquement privée de la chaleur du milieu familial.
Il se rêvait seul, pansant Philoctète
Aux nuits de Lemnos ; ou loin, grêle ascète,
Et des vers aux moineaux
Par le lycée en vacances, sous les préaux (5)…
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
C’est la toux dans les dortoirs du lycée qui rentre,
C’est la tisane sans foyer (6)…
« La chanson du petit hypertrophique » (7)
J’entends mon cœur qui bat
C’est maman qui m’appelle
mêle certainement à ce goût et à cette attirance du néant si fréquents dans la poésie de Laforgue une nostalgie du giron maternel.
Plus tard, après la douceur d’une trêve, c’est la solitude des années de Paris, et c’est le thème poignant de la solitude magnifiquement généralisé dans « le Sanglot de la Terre ».
Tout est seul ! Nul témoin ! Rien ne voit, rien ne pense.
Il n’y a que le noir, le temps et le silence (8)
Et dans une note moins désespérée d’exaltation ultra-terrestre,
Oui des frères partout (je le sais, je le sais !)
Ils sont seuls comme nous (9).
pour retomber au renoncement contemplatif.
Hélas avant ce temps, averses, vents, soleil
Auront au loin perdu mon cœur, mes nerfs, mes moelles.
Tout se fera sans moi ! Ni rêve ni réveil !
Je n’aurai pas été dans les douces étoiles.
Dans l’Hamlet, la raillerie tournée contre soi-même fait apparaître le thème de ce conflit de sentiments dans lequel se meut presque constamment la poésie de Laforgue, et qui lui fait blasphémer les objets de ses plus chères prédilections. L’art une duperie. La femme, d’être l’Eternel Féminin, trop peu fraternelle. Et c’est encore le clinquant des faux idéals, des sentiments qui ne sont que littérature. Même quand le poète place le plus haut l’art et ses préparations, les choses de l’esprit, l’antithèse subsiste de la vie réellement vécue et du factice de l’art, antithèse qui pour le sectateur de la philosophie de l’Inconscient s’élargit parfois en celle de l’instinct aveugle et de la conscience. Là est le conflit d’âme le plus profond, la tentation du doute dans l’âme du plus absolu adepte de l’art.
Oui ! la vie est unique, et toi sous ce scaphandre
Tu te racontes sans fin et tu te ressasses !
Seras-tu donc toujours un qui garde la chambre (10) ?
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
L’art sans poitrine m’a trop longtemps bercé dupes (11)
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vos rites, jalonnés de sales bibliothèques,
Ont voûté mes vingt ans, m’ont tari de chers goûts(12).
Il lui arrive de s’évader de ce conflit, d’en libérer sa pensée. Ce sera par l’élan d’exaltation mystique et cosmique vers un « Cœur universel » (13), mêlée d’un ressouvenir filial des croyances d’antan. Mieux encore, les deux dernières pièces des Moralités légendaires, Pan et Syrinx, Persée et Andromède concrétisent pour lui en un rêve de douceur l’alternative de l’amour partagé et de la magie idéalisatrice de l’art. Antipode et apaisement de l’inquiétude mauvaise d’Hamlet. Sérénité d’un instant qui nous représente la plus haute cime à laquelle atteint l’inspiration poétique de Laforgue, libérée de « cette dérision de l’être qui divinisait le néant » (14). Mais avec la pièce intitulée Avertissement (15), datée symboliquement d’Elseneur, 1er janvier 1886, l’Hamlet moderne se remet en face de sa destinée dominée par la figure d’un père, « qui a trop lu Jean-Jacques Rousseau » (16).[p. 925]
Mon père (un dur par timidité)
Est mort avec un profil sévère.
J’avais presque pas connu ma mère
Et donc vers vingt ans je suis resté,
Alors j’ai fait d’la littérature,
Mais le Démon de Vérité
Sifftlotait tout l’temps à mes côtés ;
« Pauvre ! as-tu fini tes écritures… »
Plus poignant d’amertume accumulée dans un accent trivialement railleur de complainte est le petit poème intitulé le Vaisseau fantôme :
Il était un petit navire
Où Ugolin mena ses fils
Sous prétexte, le vieux vampire,
De les faire voyager gratis.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Si cette histoire vous embête
C’est que vous êtes un sans-cœur,
Ah j’ai du cœur par dessus la tête,
Oh ! rien partout que rires moqueurs ! (17)
Au fond l’Hamlet de Laforgue apporterait plutôt par comparaison une vérification d’ordre général à l’idée directrice de la critique artistique psychanalytique et à l’application faite de cette idée au chef-d’œuvre de Shakespeare, qu’il ne se prête lui-même à une application intégrale de la doctrine Freudienne, contrairement à ce que l’on aurait pu présumer. Le poète français n’a retenu de la fable d’Hamlet que les éléments auxquels le rôle de la libido était à peu près étranger. On ne pourrait soutenir le contraire qu’en supposant un peu arbitrairement et sans nécessité, en dehors de la motivation consciente du sentiment attribué à son héros, que la force et la forme de ce sentiment seraient empruntées à un gisement de tendances préconscientes. Il reste d’autre part qu’en outre du rapprochement dont nous avons signalé l’intérêt, certaines anticipations.de la critique psychanalytique sont éparses dans l’ensemble des œuvres de Laforgue. Il faut noter que Laforgue, poète de la puberté, a puisé sa forte préparation philosophico-boudhique aux doctrines méditées par lui sans trêve de l’Inconscient, doctrines dont le pansexualisme constitue comme la prémisse de la psycho-analyse, nouvelle méthode elle-même d’exploration de l’inconscient.
Comment Laforgue réagit-il à ces doctrines de l’Inconscient dont il ne fait sa méditation assidue que par suite de leur affinité avec ses dispositions et sa destinée personnelles ? Nous touchons ici à un de ces conflits de tendances qui font la vie de son inspiration. La qualification d’ambivalence trouverait à s’appliquer à son sentiment sur la femme et sur l’amour tel qu’il se développe dans son œuvre suivant deux thèmes alternés. Le premier de ces thèmes c’est celui de l’attente de l’amour chez l’être intact, plus douloureuse de tant de délicatesses, de tant de préparations, peut-être [p. 926] vaines chez l’être qui a trop exclusivement vécu de la vie intérieure ; tout le pathétique et tout le mystère que contient l’idée du génie de l’espèce vient ici concourir à l’enivrement inséparable de ce moment de la vie qui est la puberté. Le thème adverse est celui du désaccord de la réalité avec l’idéal, du désenchantement. L’idéal n’est-il pas lui-même une ivresse des sens machinée par l’Inconscient. La femme, si elle n’est sœur ou mère, tout un art de plaire inné et prometteur, tout un inconnu « hypertrophié » qui nous là rend si différente, si étrangère, la révèle complice ingénue des ruses de la nature. Et pessimiste alors, mais en brave boudhiste « voûté sous l’à quoi bon », le poète évoque de ses vœux, en attendant la rentrée au sein du non-être, une accalmie fraternelle des relations humaines (18) la femme cessant d’être prêtresse de l’Inconscient pour nous devenir plus compagne, plus humaine, plus sœur. Son idéal personnel comme poète lui fait désirer l’amour d’une femme qui serait plus maternelle, plus sœur qu’amante. « Nous poètes, écrit-il, restons des enfants de quinze ans, toujours pubères » (19). D’autres avant lui ont dénoncé ce qui subsiste d’inimitié des sexes dans les abandons et les luttes de l’amour et ont souhaité une tendresse tempérée de douceur fraternelle. Mais cette idée prend un sens nouveau dans une poésie pénétrée de la morale pessimiste pour laquelle les humains ne sont que compagnons d’infortune. Continuateurs des philosophies de l’Inconscient, les psycho-analystes, en vue d’une application plus complète du complexe au cas envisagé que nous avons écartée, supposeront peut-être ici que cette transformation de l’amour en affection de sœur est un idéal par lequel ce sentiment se trouve ramené à une forme ultra-primitive ; et ce ne serait pas la première fois que se serait sublimisée sous le nom d’idéal une confusion prohibée de sentiments correspondant à un stade de l’espèce humaine, dépassé même par les sociétés préhistoriques. Il suffira sans doute d’admettre que les diverses affections participent les unes des autres dans des proportions diverses suivant les cas.
En conclusion de ces essais partiels d’interprétation, la valeur de la psychanalyse nous a paru être celle d’une hypothèse de travail et j’ajouterai d’une hypothèse ayant la forme imagée d’un mythe, genre d’explication qui a d’ailleurs droit de cité en philosophie depuis Platon. Et voici donc que le principe d’une science interprétative de symboles est lui-même affecté d’un certain symbolisme. D’autre part cette hypothèse par sa valeur d’un caractère approximatif rentrerait assez bien sous le type des explications dans la forme du « comme si ». Elle offre -d’ailleurs cet avantage d’unifier et de [p. 927] faire communiquer des domaines d’étude d’ordre très divers, rêve, folklore, art, thérapeutique des névroses, langage, mentalité du primitif et de l’enfant, et cela tient à ce qu’elle a été dégagée précisément de toute une expérience très étendue et très diverse dont la connaissance des littératures n’est pas l’élément le moins important. Nous voyons, par exemple, qu’en psychanalyse la critique des actes manqués, des lapsus, rejoint l’étude du problème de l’expression en ce qui concerne les mécanismes verbaux permettant de faire entendre, de suggérer ce qui n’est pas ouvertement exprimé, et même le contraire de ce qui est formellement exprimé. L’à peu près, forme d’esprit si courante chez les écrivains dramatiques de nos jours, relève de la même théorie du lapsus, et aussi l’improvisation de vocables de circonstance par superposition de mots ayant assez d’analogie pour prêter à la confusion. Cette sorte de métaphore-express est un procédé dont les œuvres de Laforgue nous offrent de fréquents exemples : Eternullité, radeaux du Nihil, se délévrer de l’extase, violuptés à vif, etc.
Que le principe de la psychanalyse par suite de la riche et variée information qu’il suppose, se prête aux applications les plus imprévues, la théorie des transferts nous en offre un exemple. Freud admet que dans son traitement thérapeutique des névroses l’attachement amoureux du sujet en traitement pour le médecin, principalement dans le cas de sujets du sexe féminin, et même parfois dans des conditions d’âge qui touchent au grotesque, n’est pas un événement accidentel n’ayant rien à voir avec le traitement proprement dit, étant donnée la régularité avec laquelle ce fait se constate (20). Dans le cas de sujets masculins, l’attitude affective se sublimise, sauf dans le cas de prédisposition homosexuelle. Il peut y avoir transfert négatif à forme hostile, la signification de l’ambivalence étant ici que les sentiments hostiles aussi bien que les sentiments tendres impliquent un attachement affectif. Or cette analyse ne projette-t-elle pas une lumière sur l’érotisme Socratique ? Entre la méthode Socratique et la thérapeutique psychanalytique n’y-a-t-il pas analogie de but (dissociation de l’illusion du faux-savoir, thérapeutique réductrice des obsessions), analogie de moyens (interrogation, confession). Sans doute la méthode de Freud concerne le traitement pour névrosés. Mais dans l’antiquité comme aux époques primitives, les manifestations des névroses dans le cercle de la vie ordinaire sont évidemment plus courantes. Le névrosé fait plus aisément-figure de sujet normal ou même supernormal ; l’individualité de Socrate est assez typique à cet égard. Enfin l’exigence affective chez les compagnons ou disciples de Socrate revêt diverses formes y compris la forme sublimisée. Le cas d’ambivalence est même réalisé dans l’attitude affective revêtant la forme d’animosité vouée à l’interrogateur infatigable par quelques-uns de ceux qui avaient subi, sans plaisir les effets de sa méthode critique d’accouchement esprits.
J. PÉRÈS.
NOTES
(1) E. Jones. American Journal of Psychology, 1910, XXI.
(2) J. Laforgue. Moralités légendaires. Ed. du Merc. de Fr., 1913, p. 72.
(3) Dr S. Freud. Introduction à la Psychanalyse (Payot), p. 35.
(4) J. Laforgue. Mélanges Posthumes.
(5) J. Laforgue. Poésies, les Complaintes, p. 95.
(6) Ibid., Derniers vers, 292.
(7) Poésies, le Sanglot de la Terre, p. H.
(8) Ibid., p. 24.
(9) Ibid., p. 42, 43.
(10) Poésies, les Complaintes, p. 89.
(11) Ibid., p. 127.
(12) Ibid., p. 67.
(13) Poésies, le Sanglot de la Terre, p. 35.
(14) Moralités légendaires, Persée et Andromède, p. 247.
(15) Poésies, Des fleurs de bonne volonté, p. 341.
(16) Mélanges posthumes, p. 295.
(17) Poésies. Des fleurs de bonne volonté, p. 430.
(18)
Or ne pouvant redevenir des madrépores
O mes humains, consolons-nous les uns les autres
Et jusqu’à ce que la nature soit bien bonne
Tâchons de vivre monotone.
(Poésies, Complaintes, p. 87.)
(19) Mélanges posthumes, p. 55.
(20) Dr S. Freud. Introduction à la Psychanalyse, p. 461.
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